How to implement it ? Comment la rendre active ?

jeudi 28 janvier 2010

Clearstream, DdV relaxé... suite

Clearstream:

Dominique de Villepin relaxé, Florian Bourges condamné pour abus de confiance ! Alors qu'il avait révélé le vol de tous les contribuables du monde...

Leur axiome : si vous dites un mensonge suffisamment gros, suffisamment longtemps, ce mensonge deviendra la " vérité ".

La vraie histoire Clearstream Ferraye n'est pas finie. http://pavie.ch/articles.php?lng=fr&pg=3126

Voici le plus grand mensonge économique qui tue de plus en plus d'innocents...


Le dollar est émis non pas par le gouvernement des Etats-Unis, mais par la FED, qui est contrôlée par des banques privées et met à disposition du gouvernement de l'argent contre paiement inique.

En contre-partie, il encaisse des intérêts et prélève des impôts.

Peu de personnes comprennent  vraiment cette duperie, qui tue sournoisement les plus faibles du monde entier...

De plus, les obligations émises par le gouvernement donnent à la FED un droit de gage, public et privé, sur l'ensemble des biens-fonds des Etats-Unis. De nombreuses actions en justice se sont efforcées de faire annuler la loi sur la FED, mais sans succès jusqu'à maintenant. Le président John F. Kennedy a été le premier à tenter de transformer la FED en édictant un décret présidentiel («executive order number 11110»). Il a fait imprimer des dollars libres avec le sceau rouge, que vous pouvez encore trouver chez des collectionneurs.

http://dollardaze.org/blog/posts/2007/October/19/1/Kennedy5DollarLarge.jpg

Peu après, il a été assassiné, probablement par son propre service de renseignements. Le premier acte de son successeur, Lyndon B. Johnson, a été d'annuler le décret de son prédécesseur dès son retour de Dallas à Washington, dans l'avion présidentiel.

Le dollar des Etats-Unis au sceau vert est la monnaie privée de la haute finance, qui nous vole tous pour notre plus grand malheur.

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/c/c7/Un_dollar_us.jpg


dette du Canada
Le système bancaire actuel cause la pauvreté en face de
l'abondance en endettant tous les pays et personnes. Les prêts à intérêts ne sont pour la plupart que de simples écritures tirées du néant, c'est à dire de la fausse monnaie,
selon Maurice Allais, Prix Nobel d'économie en 1988
dans « La crise mondiale aujourd'hui »
(Ed. Clément Juglar 1999).
.
Pollution www.m-c-s.ch
L'EFF utilise le ruban bleu pour symboliser leur défense de la liberté d'expression
 

Affaire Kennedy : Quand JFK mettait en garde contre une "conspiration monolithique"..

Les douze qui veulent dominer le monde.

Le service Majestic ne comporte que 12 personnes cooptées, qui utilisent des couvertures diverses et parfois ridicules afin de brouiller les pistes.

Ce gouvernement mondial ne représente aucun pays. Son moteur est la cupidité.

Ceux qui le composent essaient de contrôler tous les pays par la création monétaire ou les guerres. Ce sont eux qui font élire ou éliminer  les dictateurs et les présidents.

http://desiebenthal.blogspot.com/2010/01/votations-truquees-elections-cheated.html

Ce sont eux qui décident des conflits, des épidémies, ...

Genève est un point central pour eux, un point parmi d'autres ( New-York, Londres, Rome, Singapour...)
 


Le Président Kennedy et la presse : discours devant
l'association des patrons de presse américains


Les sociétés secrètes qui contrôlent les complexes militaro-industriel sont dangereuses...


http://versdemain.org/images/Compte-Goutte.gif


 

Président John F. Kennedy
Waldorf-Astoria Hotel

New York City, le 27 avril 1961



Mr. Le Président, Mesdames et Messieurs,

J'apprécie beaucoup votre généreuse invitation à être ici ce soir.

Vous avez supporté de lourdes responsabilités ces jours derniers et un article que j'ai lu il y a quelques temps m'a rappelé combien le fardeau des événements en cours pouvait peser sur votre profession.

Vous savez peut-être qu'en 1851 le New York Herald Tribune, alors sous la direction de Horace Greeley, employait comme correspondant à Londres un obscur journaliste du nom de Karl Marx.

On raconte que le correspondant étranger Marx, fauché, et avec une famille malade et mal nourrie, demandait sans cesse à Greeley et au directeur de l'édition Charles Dana une augmentation de son mirifique salaire de 5$ par article, un salaire que lui et Engels nommèrent ingratement la "tricherie de l'infect et insignifiant bourgeois".

Mais lorsque toutes ses requêtes financières furent refusées, Marx chercha d'autres moyens de subsistance et de reconnaissance, mit finalement fin à sa collaboration avec le Tribune et consacra ses talents à plein temps à la cause qui devait léguer au monde le germe du léninisme, du stalinisme, de la révolution et de la guerre froide.

Si le journal capitaliste de New York l'avait traité plus correctement, si Marx était resté un correspondant étranger, l'histoire aurait été différente. J'espère que tous les éditeurs garderont cette leçon à l'esprit la prochaine fois qu'ils recevront une requête pour une misérable augmentation de la part d'un obscur journaliste.

J'ai choisi comme titre de mes observations de ce soir "Le président et la presse". D'aucuns pourraient suggérer qu'il devrait plus naturellement s'intituler "Le président contre la presse". Mais ce ne sont pas mes sentiments de ce soir.

Il est vrai, cependant, que quand un célèbre diplomate d'un autre pays demanda récemment que notre département d'état désavoue des articles attaquant son collègue, il n'était pas nécessaire pour nous de répondre que l'administration n'était pas responsable de la presse, puisque la presse avait déjà clairement indiqué qu'elle n'était pas responsable de cette administration.

Néanmoins, mon but ici ce soir n'est pas de délivrer une de ces attaques usuelles contre la presse. Au contraire, durant les derniers mois, j'ai rarement entendu de quelconques plaintes de pressions politiques sur la presse, à part de quelques républicains. Mon but ici ce soir n'est pas non plus de justifier ou discuter la diffusion télévisuelle des conférences de presse présidentielles. Je pense qu'il est fortement bénéfique qu'il y ait régulièrement quelques 20,000,000 d'américains assis devant leurs télévisions pour regarder, si l'on peut dire ainsi, les qualités courtoises et inspirées affichées par vos correspondants à Washington.

Finalement ces observations n'ont pas non plus pour but d'examiner le juste degré d'intimité que la presse devrait accorder à tout président et à sa famille.

Si durant les quelques derniers mois vos reporters et photographes à la maison blanche ont dû assister avec régularité à des offices religieux, cela ne leur a sûrement pas fait de mal.

D'un autre coté, je réalise que votre personnel et vos photographes de revues de presse peuvent se plaindre qu'ils n'aient pas profité de mêmes verts privilèges au parcours de golf que ceux dont ils ont profité une fois.

Il est vrai que contrairement à moi, mon prédécesseur ne refusait pas de faire des photos en action d'une de ses prouesses golfiques. Mais d'un autre coté il n'avait jamais assommé un agent des services secrets avec une balle.

Mon sujet de ce soir est plus sobre et s'adresse aussi bien aux rédacteurs qu'aux éditeurs.

Je veux parler de notre responsabilité commune face à un danger qui nous concerne tous. Les événements des récentes semaines peuvent nous avoir, pour certains, aidés à mettre à jour le défi ; mais du fait de son ampleur la menace a envahit l'horizon pour de nombreuses années. Quels que soient nos espoirs pour le futur, pour réduire la menace ou vivre avec, on ne peut échapper à la gravite ou la globalité du défi pour notre survie et notre sécurité, un défi qui nous confronte de manières inhabituelles dans chaque domaine de l'activité humaine.

Ce défi mortel impose à notre société deux exigences concernant à la fois la presse et le président - deux exigences qui peuvent sembler presque contradictoires, mais qui doivent être réconciliées et satisfaites si nous devons rencontrer ce péril national. Je fais référence, premièrement, au besoin d'une plus grande information du public, et, deuxièmement, au besoin d'un plus grand secret officiel.


I

Le mot "secret" est répugnant dans une société libre et ouverte ; et nous sommes en tant que personnes fondamentalement et historiquement opposes aux sociétés secrètes, aux serments secrets, aux procédures secrètes. Nous avons décidé il y a longtemps que les dangers à occulter de manière excessive et injustifiée des faits pertinents étaient de loin plus importants que les dangers justifiant leur occultation. Aujourd'hui encore, il y a peu d'intérêt à assurer la survie de notre nation si nos traditions ne survivent pas avec. Et il y a un très grave danger pour qu'un besoin annoncé d'une sécurité accrue soit saisi par des anxieux pour étendre la signification aux limites extrêmes de la censure et de la dissimulation officielles. Ce que je n'ai pas l'intention de permettre dans l'espace de mes fonctions. Et aucun officiel de mon administration, que son rang soit haut ou bas, civil ou militaire, ne doit interpréter mes mots ici ce soir comme une raison pour censurer l'information, étouffer une contestation, couvrir nos erreurs ou dissimuler à la presse ou au public des faits qui seraient dans leur intérêt de connaître.

Mais je demande à chaque rédacteur, à chaque éditeur, et chaque journaliste de notre nation de réexaminer ses propres principes, et de reconnaître la nature du péril de notre pays. En temps de guerre, le gouvernement et la presse se sont habituellement joints dans un effort largement basé sur l'autodiscipline, pour éviter des divulgations non autorisées à l'ennemi. En temps de danger clair et présent, les tribunaux ont conclu que les droits et privilèges du 1er amendement doivent céder devant les besoins en sécurité nationale du public.

Aujourd'hui, aucune guerre n'est déclarée - et cependant quelque féroce que soit la bataille, elle peut ne jamais être déclarée de manière traditionnelle. Notre mode de vie est en danger. Ceux qui se présentent comme nos ennemis progressent à travers la planète. La survie de nos amis est en danger. Et aucune guerre n'a été déclarée, aucune frontière n'a été traversée par des troupes, aucun missile n'a été tiré.

Si la presse attend une déclaration de guerre avant de s'imposer l'autodiscipline des conditions de combat, alors je peux seulement dire qu'aucune guerre n'a jamais représenté une telle menace pour notre sécurité. Si vous attendez un avis de "clair et présent danger", alors je peux seulement dire que le danger n'a jamais été plus clair et sa présence plus imminente.

Tout cela requiert un changement dans le mode de pensée, un changement des tactiques, un changement des missions - pour le gouvernement, le peuple, pour chaque patron, chaque ouvrier, et pour chaque journal. Puisque nous sommes confrontés à travers la planète à une conspiration massive et impitoyable basée principalement sur des moyens cachés pour étendre sa sphère d'influence, l'infiltration au lieu de l'invasion, la subversion au lieu des élections, l'intimidation au lieu du libre arbitre, les guérillas de nuit au lieu des armées de jour. Il s'agit d'un système qui a enrôlé de vastes ressources humaines et matérielles dans la construction d'un étroit filet, machine très efficace qui combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignement, économiques, scientifiques et politiques.

Ses projets sont cachés, et non publiés. Ses erreurs sont enterrées, et non révélées. Ses dissidents sont bâillonnés, et non admirés. Aucune dépense n'est discutée, aucune rumeur imprimée, aucun secret révélé. Cela conduit à la guerre froide, en bref, une discipline de temps de guerre avec laquelle aucune démocratie n'espérerait ou souhaiterait s'assortir.

Néanmoins, toute démocratie reconnaît les restrictions nécessaires à la sécurité nationale - et la question demeure de savoir si ces restrictions doivent être plus strictement observées si nous sommes opposés à ce type d'attaque plutôt qu'à une invasion absolue.

Car les faits sont que les ennemis de notre nation se vantent ouvertement d'acquérir par nos journaux des informations qu'ils auraient autrement acquises par le vol, l'espionnage ou la corruption, en embauchant des agents ; ces détails des préparations cachées de notre nation pour contrer les opérations cachées des ennemis ont été rendues disponibles à tout lecteur des journaux, ami ou ennemi ; la taille, la force, la position et la nature de nos forces et armes, nos plans et stratégies pour leur utilisation, ont tous été indiqués avec précision dans la presse, et d'autres medias, à un degré suffisant pour satisfaire toute puissante étrangère ; et, au moins dans un cas, la publication de détails concernant un mécanisme top-secret par lequel des satellites sont suivis a requis sa modification au prix d'une considérable perte de temps et d'argent.

Les journaux qui ont imprimé ces histoires étaient loyaux, patriotes, responsables et bien-pensants. Si nous avions été engagés dans une guerre ouverte, ils n'auraient sans aucun doute jamais publié de telles choses. Mais en l'absence de guerre ouverte ils subirent seulement le contrôle du journalisme et non le contrôle de la sécurité nationale. Et ma question ce soir et de savoir si des contrôles additionnels ne devraient pas être adoptés maintenant.

Vous devez répondre seuls à cette question. Aucun officiel ne devrait répondre pour vous. Aucun plan gouvernemental ne devrait imposer ses contraintes contre votre volonté. Mais je faillirais à mon devoir envers la nation, considérant toutes les responsabilités que nous portons maintenant et tous les moyens à portée de main pour satisfaire à ces responsabilités, si je ne portais pas ce problème à votre attention, et ne vous pressais à sa considération réfléchie.

A diverses occasions par le passé, j'ai dit - et vos journaux l'ont constamment dit - que ce sont des temps qui appellent au sens du sacrifice et à l'autodiscipline de chaque citoyen. Ces temps invitent chaque citoyen à peser ses droits et conforts par rapport à ses obligations envers le bien commun. Je ne peux désormais pas croire que ces citoyens qui œuvrent dans le métier du journalisme se considèrent exempts de cet appel.

Je n'ai aucune intention de mettre en place un nouveau bureau de l'information de guerre pour gouverner les flux de nouvelles. Je ne suis pas en train de suggérer de nouvelles formes de censure ou de nouveaux types de classification des niveaux de sécurité. Je n'ai pas de réponse facile au dilemme que je viens de poser, et je ne chercherais pas à en imposer si j'en avais une. Mais je demande aux membres des professions de la presse et de l'industrie de ce pays de réexaminer leurs propres responsabilités, de considérer le degré et la nature du danger présent, et de tenir compte du devoir d'auto-restriction que ce danger nous impose à tous.

Chaque journal se demande habituellement, pour chaque histoire: "Est-ce bien une nouvelle ?". Tout ce que je suggère, c'est d'ajouter la question : "Est-ce d'un intérêt pour la sécurité nationale ?". Et j'espère que chaque groupe en Amérique - les syndicats, les patrons, les officiels à tout niveau - se posera la même question au sujet de leurs projets, et soumettront leurs actions aux mêmes contrôles.

Et si la presse américaine envisage et recommande de nouveau contrôles et mécanismes, je peux vous assurer que nous coopérerons sans réserve à ces recommandations.

Peut-être n'y aura-t-il aucune recommandation. Peut-être n'y a-t-il aucune réponse au dilemme rencontré par une société libre et ouverte dans une guerre froide et secrète. En temps de paix, les discussions sur ce sujet, et les actions qui en résultent, sont douloureuses et sans précédent. Mais il s'agit d'un temps de paix et de péril qui ne connait aucun précédent dans l'histoire.


II

C'est la nature sans précédent de ce défi qui donne naissance à votre seconde obligation - une obligation que je partage : il est de notre obligation d'informer et d'alerter le peuple américain, pour être sûr qu'il connaisse tous les faits qu'il a besoin de connaitre, et qu'il les comprennent parfaitement bien ; les périls, les perspectives, les buts de nos programmes et les choix que nous devons faire.

Aucun président ne devrait craindre la surveillance citoyenne de son programme, afin que de cette surveillance vienne la compréhension, et que de cette surveillance vienne support ou opposition. Les deux sont nécessaires. Je ne suis pas en train de demander à vos journaux de supporter l'administration, mais je vous demande votre aide dans l'énorme tâche qui est d'informer et d'alerter le peuple américain, afin que j'aie entière confiance en la réponse et l'implication de nos citoyens pourvu qu'ils soient parfaitement informés.

Je pourrais me contenter seulement de ne pas réprimer la controverse parmi vos lecteurs - je l'accueille volontiers. Cette administration a pour but d'être candide à propos de ses erreurs. Comme un homme avisé l'a dit "Une erreur ne devient pas une faute, à moins de refuser de la corriger". Nous avons l'intention d'accepter l'entière responsabilité de nos erreurs, et nous comptons sur vous pour nous indiquer quand nous les manquerions.

Sans débat, sans critique, aucune administration et aucun pays ne peut réussir, et aucune république ne peut survivre. C'est pour cela que le législateur athénien Solon décréta qu'il s'agissait d'un crime pour tout citoyen d'éviter la controverse. Et c'est pourquoi notre presse fût protégée par le 1er amendement, le seul métier en Amérique spécifiquement protégé par la Constitution, pas pour amuser et divertir, pas pour développer le banal et le sentimental, pas pour simplement "donner au public ce qu'il veut", mais pour informer, pour éveiller, pour réfléchir, pour faire état de nos dangers et nos opportunités, pour indiquer nos crises et nos choix, pour diriger, éduquer et quelques fois même irriter l'opinion publique.

Cela veut dire une plus grande couverture et analyse des nouvelles internationales, si ce n'est pas trop éloigné et à portée de main. Cela veut dire une plus grande attention pour une meilleure compréhension des nouvelles ainsi qu'une communication améliorée. Et cela veut dire, finalement, que le gouvernement, à tous les niveaux, doit satisfaire à ses obligations de vous fournir les informations les plus complètes, en dehors des limites restreintes de la sécurité nationale, et nous avons l'intention de le faire.

III

C'est au début du 17ème siècle que Francis Bacon remarqua trois récentes inventions déjà en train de transformer le monde : la boussole, la poudre à canon, l'imprimerie. Maintenant les liens entre les nations d'abord forgés par la boussole nous ont tous faits citoyens du monde, les espoirs et les menaces pour un devenant des espoirs et des menaces pour nous tous. Dans ces efforts pour vivre ensemble dans ce monde commun, l'évolution de la poudre à canon dans ses ultimes limites a averti l'humanité des terribles conséquences de l'échec.

Et ainsi, c'est dans la presse écrite, la mémoire des actions de l'homme, le gardien de sa conscience, le courrier de ses nouvelles, que nous cherchons force et assistance, confiant qu'avec votre aide l'homme sera ce pourquoi il est né : libre et indépendant.


Commentaires:


www.pavie.ch



 

Certaines phrases expriment les dangers réels d'une manipulation de l'opinion publique : 



"Ce que je n'ai pas l'intention de permettre dans l'espace de mes fonctions. Et aucun officiel de mon administration, que son
rang soit haut ou bas, civil ou militaire, ne doit interpréter mes mots ici ce soir comme une raison pour censurer l'information,
étouffer une contestation, couvrir nos erreurs ou dissimuler à la presse ou au public des faits qui seraient dans leur intérêt de connaitre..."

C'est pourtant exactement ce qui ce passe aujourd'hui voire même pire encore puisqu'à la suite du 9/11, presque tous les organes de presses ont relayé et confortent encore la version officielle faisant abstraction de toutes les incohérences évidentes.
(voir : www.reopen911.info )
et ce n'est qu'un exemple parmi tant d'autres.

Le président JFK n'a certainement pas étayé ainsi son discours par hasard, pourquoi mettre l'accent sur les méthodes utilisées par les Russes à l'époque quand on sait qu'elle sont exactement celles employées par les USA (entre autres) par la suite :

"Puisque nous sommes confrontés à travers la planète à une conspiration massive et impitoyable basée principalement sur des moyens cachés
pour étendre sa sphère d'influence, l'infiltration au lieu de l'invasion, la subversion au lieu des élections, l'intimidation au lieu du
libre arbitre, les guérillas de nuit au lieu des armées de jour. Il s'agit d'un système qui a enrôlé de vastes ressources humaines et matérielles dans la construction d'un étroit filet, machine très efficace qui combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignement,
économiques, scientifiques et politiques.
Ses projets sont cachés, et non publiés. Ses erreurs sont enterrées, et non révélées. Ses dissidents sont bâillonnés, et non admirés.
Aucune dépense n'est discutée, aucune rumeur imprimée, aucun secret révélé..."

voir "Confessions of an Economic Hit Man" de John Perkins et ce n'est encore qu'un exemple...

Encore une phrase troublante dans ce discours :

"Le mot "secret" est répugnant dans une société libre et ouverte ; et nous sommes en tant que personnes fondamentalement et historiquement opposes aux sociétés secrètes, aux serments secrets, aux procédures secrètes. Nous avons décidé il y a longtemps que les dangers à occulter de manière excessive et injustifiée des faits pertinents étaient de loin plus importants que les dangers justifiant leur occultation..."

Je pense que l'auteur de ce blog à soigneusement choisi son titre "Skullsnbones" afin de diffuser par le biais des moteurs de recherches en particulier aux "conspiraplotistes" afin de mettre en évidence cette grossière manipulation et les faire douter de leurs convictions.
Mais ceux ci connaissent et de façon fort bien documentées les implications réelles de ces fameuses "sociétés secrètes" œuvrant dans l'ombre...
Si le peuple des US est toujours de l'avis de JFK, que font tous ces membres reconnus aux postes clés du pays ?

Pour conclure, même si le message de JFK avait effectivement pour but premier d'empêcher la divulgation de secrets à l'ennemi durant la guerre froide, il est possible aussi qu'il ai par ce biais, tenté de prévenir les journalistes, qui protégés par la constitution était les seuls à
pouvoir entraver la mise en place de ce que l'on appelle aujourd'hui le "Nouvel Ordre Mondial"...

En vain !!!

Aussi ne doutez pas de l'évidence

ILS POSSÈDENT LE MONDE !

et seule une insurrection généralisée et/ou un boycott total peut sauver les braves moutons que nous sommes...

Claro.

 


Voir aussi :


Le discours d'adieu prononcé à la télévision américaine le 17 janvier 1961 par le Président Dwight D. Einsenhower à l'attention de tous ses concitoyens. Il est entièrement centré sur un avertissement solennel concernant le danger de la montée en puissance du complexe militaro industriel des USA. Eisenhower emploie l'expression "militaro industrial complex". Visiblement mal à l'aise, il avertit ses concitoyens que si cette entité n'est pas contrôlée, elle risque de constituer un véritable danger vis à vis du fonctionnement démocratique du pays.


http://www.dailymotion.com/video/x3yfxc_discours-dadieu-einsenhower-complex_politics


The President and the Press: Address before the American Newspaper Publishers Association

President John F. Kennedy
Waldorf-Astoria Hotel
New York City, April 27, 1961

audio  Listen to this speech

    Mr. Chairman, ladies and gentlemen:

     I appreciate very much your generous invitation to be here tonight.

     You bear heavy responsibilities these days and an article I read some time ago reminded me of how particularly heavily the burdens of present day events bear upon your profession.

     You may remember that in 1851 the New York Herald Tribune under the sponsorship and publishing of Horace Greeley, employed as its London correspondent an obscure journalist by the name of Karl Marx.

     We are told that foreign correspondent Marx, stone broke, and with a family ill and undernourished, constantly appealed to Greeley and managing editor Charles Dana for an increase in his munificent salary of $5 per installment, a salary which he and Engels ungratefully labeled as the "lousiest petty bourgeois cheating."

     But when all his financial appeals were refused, Marx looked around for other means of livelihood and fame, eventually terminating his relationship with the Tribune and devoting his talents full time to the cause that would bequeath the world the seeds of Leninism, Stalinism, revolution and the cold war.

     If only this capitalistic New York newspaper had treated him more kindly; if only Marx had remained a foreign correspondent, history might have been different. And I hope all publishers will bear this lesson in mind the next time they receive a poverty-stricken appeal for a small increase in the expense account from an obscure newspaper man.

     I have selected as the title of my remarks tonight "The President and the Press." Some may suggest that this would be more naturally worded "The President Versus the Press." But those are not my sentiments tonight.

     It is true, however, that when a well-known diplomat from another country demanded recently that our State Department repudiate certain newspaper attacks on his colleague it was unnecessary for us to reply that this Administration was not responsible for the press, for the press had already made it clear that it was not responsible for this Administration.

     Nevertheless, my purpose here tonight is not to deliver the usual assault on the so-called one party press. On the contrary, in recent months I have rarely heard any complaints about political bias in the press except from a few Republicans. Nor is it my purpose tonight to discuss or defend the televising of Presidential press conferences. I think it is highly beneficial to have some 20,000,000 Americans regularly sit in on these conferences to observe, if I may say so, the incisive, the intelligent and the courteous qualities displayed by your Washington correspondents.

     Nor, finally, are these remarks intended to examine the proper degree of privacy which the press should allow to any President and his family.

     If in the last few months your White House reporters and photographers have been attending church services with regularity, that has surely done them no harm.

     On the other hand, I realize that your staff and wire service photographers may be complaining that they do not enjoy the same green privileges at the local golf courses that they once did.

     It is true that my predecessor did not object as I do to pictures of one's golfing skill in action. But neither on the other hand did he ever bean a Secret Service man.

     My topic tonight is a more sober one of concern to publishers as well as editors.

     I want to talk about our common responsibilities in the face of a common danger. The events of recent weeks may have helped to illuminate that challenge for some; but the dimensions of its threat have loomed large on the horizon for many years. Whatever our hopes may be for the future--for reducing this threat or living with it--there is no escaping either the gravity or the totality of its challenge to our survival and to our security--a challenge that confronts us in unaccustomed ways in every sphere of human activity.

     This deadly challenge imposes upon our society two requirements of direct concern both to the press and to the President--two requirements that may seem almost contradictory in tone, but which must be reconciled and fulfilled if we are to meet this national peril. I refer, first, to the need for a far greater public information; and, second, to the need for far greater official secrecy.

I

     The very word "secrecy" is repugnant in a free and open society; and we are as a people inherently and historically opposed to secret societies, to secret oaths and to secret proceedings. We decided long ago that the dangers of excessive and unwarranted concealment of pertinent facts far outweighed the dangers which are cited to justify it. Even today, there is little value in opposing the threat of a closed society by imitating its arbitrary restrictions. Even today, there is little value in insuring the survival of our nation if our traditions do not survive with it. And there is very grave danger that an announced need for increased security will be seized upon by those anxious to expand its meaning to the very limits of official censorship and concealment. That I do not intend to permit to the extent that it is in my control. And no official of my Administration, whether his rank is high or low, civilian or military, should interpret my words here tonight as an excuse to censor the news, to stifle dissent, to cover up our mistakes or to withhold from the press and the public the facts they deserve to know.

     But I do ask every publisher, every editor, and every newsman in the nation to reexamine his own standards, and to recognize the nature of our country's peril. In time of war, the government and the press have customarily joined in an effort based largely on self-discipline, to prevent unauthorized disclosures to the enemy. In time of "clear and present danger," the courts have held that even the privileged rights of the First Amendment must yield to the public's need for national security.

     Today no war has been declared--and however fierce the struggle may be, it may never be declared in the traditional fashion. Our way of life is under attack. Those who make themselves our enemy are advancing around the globe. The survival of our friends is in danger. And yet no war has been declared, no borders have been crossed by marching troops, no missiles have been fired.

     If the press is awaiting a declaration of war before it imposes the self-discipline of combat conditions, then I can only say that no war ever posed a greater threat to our security. If you are awaiting a finding of "clear and present danger," then I can only say that the danger has never been more clear and its presence has never been more imminent.

     It requires a change in outlook, a change in tactics, a change in missions--by the government, by the people, by every businessman or labor leader, and by every newspaper. For we are opposed around the world by a monolithic and ruthless conspiracy that relies primarily on covert means for expanding its sphere of influence--on infiltration instead of invasion, on subversion instead of elections, on intimidation instead of free choice, on guerrillas by night instead of armies by day. It is a system which has conscripted vast human and material resources into the building of a tightly knit, highly efficient machine that combines military, diplomatic, intelligence, economic, scientific and political operations.

     Its preparations are concealed, not published. Its mistakes are buried, not headlined. Its dissenters are silenced, not praised. No expenditure is questioned, no rumor is printed, no secret is revealed. It conducts the Cold War, in short, with a war-time discipline no democracy would ever hope or wish to match.

     Nevertheless, every democracy recognizes the necessary restraints of national security--and the question remains whether those restraints need to be more strictly observed if we are to oppose this kind of attack as well as outright invasion.

     For the facts of the matter are that this nation's foes have openly boasted of acquiring through our newspapers information they would otherwise hire agents to acquire through theft, bribery or espionage; that details of this nation's covert preparations to counter the enemy's covert operations have been available to every newspaper reader, friend and foe alike; that the size, the strength, the location and the nature of our forces and weapons, and our plans and strategy for their use, have all been pinpointed in the press and other news media to a degree sufficient to satisfy any foreign power; and that, in at least in one case, the publication of details concerning a secret mechanism whereby satellites were followed required its alteration at the expense of considerable time and money.

     The newspapers which printed these stories were loyal, patriotic, responsible and well-meaning. Had we been engaged in open warfare, they undoubtedly would not have published such items. But in the absence of open warfare, they recognized only the tests of journalism and not the tests of national security. And my question tonight is whether additional tests should not now be adopted.

     The question is for you alone to answer. No public official should answer it for you. No governmental plan should impose its restraints against your will. But I would be failing in my duty to the nation, in considering all of the responsibilities that we now bear and all of the means at hand to meet those responsibilities, if I did not commend this problem to your attention, and urge its thoughtful consideration.

     On many earlier occasions, I have said--and your newspapers have constantly said--that these are times that appeal to every citizen's sense of sacrifice and self-discipline. They call out to every citizen to weigh his rights and comforts against his obligations to the common good. I cannot now believe that those citizens who serve in the newspaper business consider themselves exempt from that appeal.

     I have no intention of establishing a new Office of War Information to govern the flow of news. I am not suggesting any new forms of censorship or any new types of security classifications. I have no easy answer to the dilemma that I have posed, and would not seek to impose it if I had one. But I am asking the members of the newspaper profession and the industry in this country to reexamine their own responsibilities, to consider the degree and the nature of the present danger, and to heed the duty of self-restraint which that danger imposes upon us all.

     Every newspaper now asks itself, with respect to every story: "Is it news?" All I suggest is that you add the question: "Is it in the interest of the national security?" And I hope that every group in America--unions and businessmen and public officials at every level-- will ask the same question of their endeavors, and subject their actions to the same exacting tests.

     And should the press of America consider and recommend the voluntary assumption of specific new steps or machinery, I can assure you that we will cooperate whole-heartedly with those recommendations.

     Perhaps there will be no recommendations. Perhaps there is no answer to the dilemma faced by a free and open society in a cold and secret war. In times of peace, any discussion of this subject, and any action that results, are both painful and without precedent. But this is a time of peace and peril which knows no precedent in history.

II

     It is the unprecedented nature of this challenge that also gives rise to your second obligation--an obligation which I share. And that is our obligation to inform and alert the American people--to make certain that they possess all the facts that they need, and understand them as well--the perils, the prospects, the purposes of our program and the choices that we face.

     No President should fear public scrutiny of his program. For from that scrutiny comes understanding; and from that understanding comes support or opposition. And both are necessary. I am not asking your newspapers to support the Administration, but I am asking your help in the tremendous task of informing and alerting the American people. For I have complete confidence in the response and dedication of our citizens whenever they are fully informed.

     I not only could not stifle controversy among your readers--I welcome it. This Administration intends to be candid about its errors; for as a wise man once said: "An error does not become a mistake until you refuse to correct it." We intend to accept full responsibility for our errors; and we expect you to point them out when we miss them.

     Without debate, without criticism, no Administration and no country can succeed--and no republic can survive. That is why the Athenian lawmaker Solon decreed it a crime for any citizen to shrink from controversy. And that is why our press was protected by the First Amendment-- the only business in America specifically protected by the Constitution- -not primarily to amuse and entertain, not to emphasize the trivial and the sentimental, not to simply "give the public what it wants"--but to inform, to arouse, to reflect, to state our dangers and our opportunities, to indicate our crises and our choices, to lead, mold, educate and sometimes even anger public opinion.

     This means greater coverage and analysis of international news--for it is no longer far away and foreign but close at hand and local. It means greater attention to improved understanding of the news as well as improved transmission. And it means, finally, that government at all levels, must meet its obligation to provide you with the fullest possible information outside the narrowest limits of national security--and we intend to do it.

III

     It was early in the Seventeenth Century that Francis Bacon remarked on three recent inventions already transforming the world: the compass, gunpowder and the printing press. Now the links between the nations first forged by the compass have made us all citizens of the world, the hopes and threats of one becoming the hopes and threats of us all. In that one world's efforts to live together, the evolution of gunpowder to its ultimate limit has warned mankind of the terrible consequences of failure.

     And so it is to the printing press--to the recorder of man's deeds, the keeper of his conscience, the courier of his news--that we look for strength and assistance, confident that with your help man will be what he was born to be: free and independent.


mardi 26 janvier 2010

Nouvelle initiative pour la Vie

Pour nous, cette nouvelle initiative pour la Vie n'est pas parfaite mais elle va au moins réveiller quelques consciences.

Le lien social de ces drames est clair. Ces abominations font souffrir surtout des femmes que nous ne jugeons pas.

Nous souffrons avec elles.

Les abus financiers des cupides poussent au désespoir de plus en plus de victimes.

Le lien est subtil mais réel.

http://ferraye.blogspot.com/2010/01/invitation-officielle-de-evo-morales.html

Pourquoi ces bonus en millions et même en milliards ?, sic, en milliards pour les banquiers de New-York ?

Pour acheter leurs consciences.

Ils savent que la cupidité tue des millions d'innocents, sous leurs fenêtres.


Faut-il laisser tout ce système infernal continuer ces sacrifices de petites victimes innocentes ?

Démographie : la chute a commencé


Courbe sans tenir compte d'une pandémie.
par simple application mathématique des taux de fertilité ( TR, Taux de Renouvelllement ou TFR en dessous de 2 ) qui sont à la baisse dans le monde entier, et presque partout en dessous de 2,2, taux minimum actuel pour maintenir notre civilisation.
[Europe-hiver.jpg]
La chute commence déjà dans les pays "riches" et en Russie...

Tout peut s'effondrer très vite...y compris l'immobilier et les "valeurs" les plus sûres...


Nous avons jusqu'au 26 juillet 2011 pour récolter les 100 000 signatures nécessaires.

L'initiative populaire a la teneur suivante:
I
La constitution fédérale est modifiée comme suit:

Art. 117, al. 3 (nouveau)

3 Sous réserve de rares exceptions concernant la mère, l'interruption de grossesse et la réduction embryonnaire ne sont pas couvertes par l'assurance obligatoire.




Art. 117 Abs. 3 (neu)

3 Unter Vorbehalt von seltenen Ausnahmen seitens der Mutter sind Schwangerschaftsabbruch und Mehrlingsreduktion im Obligatorium nicht eingeschlossen.


Attention à la désinformation. exemples tout en bas de ce mail....

La Suisse oblige tous ses enfants à financer tous les avortements qui sont devenus tous "gratuits".

Nous les payons par nos impôts et par nos primes d'assurances...



Les animaux sont mieux protégés que les embryons humains.

Pour une objection de conscience.

Cette action a été rendue publique depuis des mois, preuves ci-dessous...29.09.2009...

Mammainfo: Avortements: Qui doit les payer?

Interview avec le Conseiller national Peter Föhn

  Au cours de la session d'été des Chambres Fédérales, le schwytzois Peter Föhn, Conseiller national, est intervenu sur le thème du financement de l'avortement et des primes des caisses-maladie. Sa motion, déposée le 10 juin 2009 au Conseil national, exige que les avortements ne soient plus couverts par l'assurance de base obligatoire. Mamma-Info a interviewé Peter Föhn.

 

Mamma-Info : Monsieur Föhn, de quoi retourne-t-il dans votre motion ?

  Peter Föhn : Pour moi, il s'agit surtout de sensibiliser la population au problème du financement de l'avortement, et de lui faire prendre conscience que les interruptions de grossesse sont financées par l'assurance-maladie de base. Les gens ne le savent pas. Et il faut alléger le poids supporté par les caisses-maladie.

 

  La réduction des coûts du secteur santé est-elle votre unique motivation ?

  Les coûts relatifs aux interruptions de grossesse ne constituent qu'une part réduite du sinistre affectant les caisses. Mais il faut bien commencer d'agir quelque part.  Par conviction, je répugne à cofinancer l'avortement, cet acte inadmissible. Pour moi donc, ce sont tout particulièrement aussi des motifs éthiques qui importent.

 S'il y avait moins d'interruptions de grossesse, il faudrait aussi moins de traitements psychologiques postérieurs. Ces traitements intervenant après un avortement ne font nulle part l'objet de statistiques. Mais sans aucun doute, ils existent en très grand nombre.

 

   En conséquence, voyez-vous dans cette motion une possibilité de réduire le nombre d'avortements ? Tous les ans, en effet, le nombre des enfants avortés est, en Suisse, de l'ordre de la population d'une petite ville.

  La réduction du nombre d'interruption de grossesse doit être un objectif que tout le monde peut soutenir. Si les personnes concernées doivent elles-mêmes subvenir à la dépense, il y aura moins d'avortements.

 

  Une Conseillère cantonale de St-Gall, Helga Klee, dit ceci au sujet de votre motion : « Avec cela, le Conseiller national Föhn veut dissuader les femmes d'avoir recours à une interruption de grossesse. (…) Et il lie même cette exigence au prétexte d'une économie de 20 millions de francs par an. (…) Le calcul n'est visiblement pas son fort, car une naissance revient jusqu'à dix fois plus cher qu'un avortement. » Maintenant, qui sait le mieux compter ? Cette Conseillère cantonale, ou vous-même ?

  En calcul, qu'elle n'essaie pas de m'en faire accroire. Les gens qui viennent au monde paient, durant leur vie, beaucoup plus, en terme de primes d'assurance (et même aussi d'impôts), que ce qu'a coûté leur naissance. Les morts ne paient rien. De surcroît, chaque enfant mis au monde apporte, non seulement à la famille, mais aussi à l'état, tant de bien qu'on ne peut en aucun cas l'évaluer en monnaie.

 

  La Conseillère cantonale se dit persuadée que la conséquence de votre exigence sera que pour avorter, beaucoup plus de femmes s'adresseraient à des charlatans et que les coûts induits seraient de beaucoup supérieurs aux économies escomptées.

  Je ne partage pas cette opinion. De surcroît, des assurances complémentaires peuvent toujours être contractées en plus de l'assurance de base. On pourrait alors faire une assurance complémentaire également pour les interruptions de grossesse.

 

  Que dites-vous du reproche selon lequel sous couvert d'une éventuelle économie, vous vous opposeriez au référendum du 2 juin 2002 par lequel le suffrage populaire suisse a clairement dit oui à la solution des délais ?

  Dans ma motion, il ne s'agit pas de mettre en question le régime des délais. A l'époque, on n'a pas demandé au peuple qui doit payer les interruptions de grossesse. La seule et unique question posée était de savoir si elles devaient être dépénalisées ou non.

 

  Un dernier argument de l'adversaire : Les femmes doivent, soutenues par un conseil médical, décider elles-mêmes de leur vie, car l'autodétermination et la responsabilité individuelle sont notre bien le plus précieux.

  Lors d'une interruption de grossesse, c'est-à-dire lors du meurtre d'une vie humaine, la limite de la responsabilité individuelle est largement dépassée.

 

  Normalement, quiconque veut agir en responsabilité individuelle et en autodétermination est également prêt-à-porter lui-même les coûts issus de son acte. Lors d'un avortement, ceci n'est manifestement pas le cas. Quelles possibilités voyez-vous pour faire sentir concrètement aux personnes concernées la nécessité qui s'impose en l'occurrence ?

  C'est l'objectif majeur de ma motion. Il serait bon qu'une large discussion publique ait lieu à ce sujet. La prévention elle aussi devrait être améliorée : premièrement, il faut expliquer aux gens à quel moment la vie commence. Il faut faire prendre conscience du fait que la vie ne commence pas après la 12ème semaine, mais que, avant déjà, l'embryon est une vie humaine à part entière. Deuxièmement, il faut parler du fait qu'après une interruption de grossesse, beaucoup de femmes souffrent d'énormes troubles psychologiques qu'elles ne peuvent quasiment plus surmonter. Troisièmement, pour le bien de la vie humaine, l'adoption devrait faire l'objet d'une simplification et d'une plus grande prise de conscience.

          Interview : Gisela Bührer-Dinkel www.mamma.ch Mille Mercis!

 émoticône pays 19

 

La motion à l'Assemblée fédérale

Parcours des instances. La motion permet à un membre du parlement de demander au Conseil fédéral d'élaborer une loi ou un décret fédéral, ou de prendre une mesure déterminée. Concernant la motion de Peter Föhn « Interruptions de grossesse. Fin du remboursement des prestations par l'assurance obligatoire des soins », le Conseil fédéral a entre-temps déjà demandé son refus au Parlement – ce avec un argumentaire fortement favorable à l'avortement. Prochaine étape de la motion : sa discussion au Conseil national.


Puis l'actuelle initiative fédérale vu le manque de soutien politique à Berne...

Le comité "Financer l'avortement est une affaire privée - Alléger l'assurance maladie en radiant les coûts de l'interruption de grossesse de l'assurance de base" est composé de représentants de l'UDC, du PDC, des partis protestants PEV et UDF, mais aussi du PLR (les conseillers nationaux nidwaldien Edi Engelberger et thurgovien Werner Messmer).


2010-0050 265
Délai imparti pour la récolte des signatures: 26 juillet 2011
Initiative populaire fédérale
«Financer l'avortement est une affaire privée – Alléger
l'assurance-maladie en radiant les coûts de l'interruption
de grossesse de l'assurance de base»
Examen préliminaire
La Chancellerie fédérale suisse,
après examen de la liste de signatures présentée le 18 décembre 2009 à l'appui de
l'initiative populaire fédérale «Financer l'avortement est une affaire privée – Alléger
l'assurance-maladie en radiant les coûts de l'interruption de grossesse de l'assurance
de base»,
vu les art. 68 et 69 de la loi fédérale du 17 décembre 1976 sur les droits politiques1,
vu l'art. 23 de l'ordonnance du 24 mai 1978 sur les droits politiques2,
décide:
1. La liste de signatures à l'appui de l'initiative populaire fédérale «Financer
l'avortement est une affaire privée – Alléger l'assurance-maladie en radient
les coûts de l'interruption de grossesse de l'assurance de base», présentée le
18 décembre 2009, satisfait, quant à la forme, aux exigences de la loi; elle
contient les indications suivantes: le canton et la commune politique où le
signataire a le droit de vote, le titre et le texte de l'initiative ainsi que la date
de sa publication dans la Feuille fédérale, une clause de retrait sans réserve,
la mention selon laquelle quiconque se rend coupable de corruption active
ou passive relativement à une récolte de signatures (art. 281 CP3) ou falsifie
le résultat d'une récolte de signatures à l'appui d'une initiative populaire
(art. 282 CP) est punissable, ainsi que les noms et adresses d'au moins sept,
mais pas plus de 27 auteurs de l'initiative. L'Assemblée fédérale ne se prononcera
sur la validité de l'initiative que lorsque celle-ci aura abouti.
2. L'initiative populaire peut être retirée par une décision prise à la majorité
absolue des auteurs suivants:
1. Bader Elvira, Co-Präsidentin, Nationalrätin, Vordere Bereten 547, 4717
Mümliswil
2. Föhn Peter, Co-Präsident, Nationalrat, Gängstrasse 38, 6436 Muotathal
1 RS 161.1
2 RS 161.11
3 RS 311.0
Initiative populaire fédérale
266
3. Kasteler-Budde Valérie, Co-Présidente, Responsable sociale, ch. du
Curé-Desclouds 4, 1226 Thônex
4. Albietz Daniel, Einwohnerrat, Im Hirshalm 10, 4125 Riehen
5. Baettig Dominique, Dr. med. FMH, Conseiller national, rue des Voignous
15, 2800 Delémont
6. Beutler Daniel, Dr. med. FMH, Hausarzt, Bahnhofstrasse 50, 3127
Mühlethurnen
7. Bortoluzzi Toni, Nationalrat, Betpurstr. 6, 8910 Affoltern a. Albis
8. Brönnimann Andreas, Nationalrat, Hühnerhubelstrasse 73, 3123 Belp
9. Büchler Jakob, Nationalrat, Matt, 8723 Rufi-Maseltrangen
10. Despot Fabienne, Députée au Grand Conseil, rue de la Madeleine 17,
1800 Vevey
11. Donzé Walter, Nationalrat, Grassiweg 34, 3714 Frutigen
12. Engelberger Edi, Nationalrat, Oberstmühle 3, 6370 Stans
13. Estermann Yvette, Dr. med. FMH, Nationalrätin, Bergstrasse 50A,
6010 Kriens
14. Flückiger-Bäni Sylvia, Nationalrätin, Badweg 4, 5040 Schöftland
15. Freysinger Oskar, Conseiller national, ch. de la Crettamalernaz, 1965
Savièse
16. Geissbühler Andrea, Nationalrätin, Thalmattweg 4, 3037 Herrenschwanden
17. Guillén Victor-Tobias, Kaufmann, Eierbachstrasse 1, 8155 Niederhasli
18. Helfenberger Melanie, Mitglied des Stadtparlaments Gossau, Bettenstrasse
1, 9212 Arnegg SG
19. Legrix Jean-Charles, Député au Grand Conseil, rue du Cerisier 44,
2300 La Chaux-de-Fonds
20. Messmer Werner, Nationalrat, Weinmoosstrasse 15, 8583 Sulgen
21. Meyer Marc, Dr. rer. pol., Gymnasiallehrer, Hellring 7, 4125 Riehen
22. Moor Michele, Banchiere, via Carivée 6, 6944 Cureglia
23. Müggler Dominik, Staatswissenschafter, Rebgasse 11, 4144 Arlesheim
24. Nussbaumer Urs, a. Nationalrat, Rainweg 14, 4533 Riedholz
25. Segmüller Pius, Nationalrat, Adligenswilerstrasse 109, 6006 Luzern
26. Streiff Marianne, Grossrätin, Wangentalstrasse 241, 3173 Oberwangen
27. Wäfler Markus, a. Nationalrat, Schopfstrasse 1c, 8162 Steinmaur
3. Le titre de l'initiative populaire fédérale «Financer l'avortement est une
affaire privée – Alléger l'assurance-maladie en radiant les coûts de l'interruption
de grossesse de l'assurance de base» remplit les conditions fixées à
l'art. 69, al. 2, de la loi fédérale du 17 décembre 1976 sur les droits politiques.
Initiative populaire fédérale
267
4. La présente décision sera communiquée au comité d'initiative, Comité
d'initiative 'Financer l'avortement est une affaire privée', Case postale 411,
4142 Münchenstein 1, et publiée dans la Feuille fédérale du 26 janvier 2010.
12 janvier 2010 Chancellerie fédérale suisse:
La chancelière de la Confédération, Corina Casanova
Initiative populaire fédérale
268

Initiative populaire fédérale
«Financer l'avortement est une affaire privée –
Alléger l'assurance-maladie en radiant les coûts de l'interruption
de grossesse de l'assurance de base»
L'initiative populaire a la teneur suivante:
I
La constitution fédérale4 est modifiée comme suit:
Art. 117, al. 3 (nouveau)
3 Sous réserve de rares exceptions concernant la mère, l'interruption de grossesse et
la réduction embryonnaire ne sont pas couvertes par l'assurance obligatoire.
II
Les dispositions transitoires de la constitution fédérale sont complétées comme suit:
Art. 197, ch. 8 (nouveau)5
8. Disposition transitoire ad art. 117, al. 3
(Assurance-maladie et assurance-accidents)
Au terme d'une période transitoire de neuf mois suivant l'acceptation de l'initiative
par le peuple et les cantons, et jusqu'à ce que les modifications législatives qu'elle
induit soient entrées en vigueur, toute disposition aux termes de laquelle l'interruption
de grossesse ou la réduction embryonnaire sont couvertes par l'assurance
obligatoire est remplacée par la règle prévue à l'art. 117, al. 3 de la constitution
fédérale.
4 RS 101
5 L'initiative populaire ne vise pas à se substituer à une disposition transitoire existante de
la constitution fédérale: c'est pourquoi le chiffre de la disposition transitoire relative au
présent article ne sera fixé qu'après le scrutin, en fonction de l'ordre chronologique dans
lequel les différentes modifications constitutionnelles auront été acceptées. La Chancellerie
fédérale procédera aux adaptations nécessaires avant publication au recueil officiel du
droit fédéral (RO).

2010-0050 285
Sammelfrist bis 26. Juli 2011
Eidgenössische Volksinitiative
«Abtreibungsfinanzierung ist Privatsache – Entlastung
der Krankenversicherung durch Streichung der Kosten
des Schwangerschaftsabbruchs aus der obligatorischen
Grundversicherung»
Vorprüfung
Die Schweizerische Bundeskanzlei,
nach Prüfung der am 18. Dezember 2009 eingereichten Unterschriftenliste zu einer
eidgenössischen Volksinitiative «Abtreibungsfinanzierung ist Privatsache –
Entlastung der Krankenversicherung durch Streichung der Kosten des
Schwangerschaftsabbruchs aus der obligatorischen Grundversicherung»,
gestützt auf die Artikel 68 und 69 des Bundesgesetzes vom 17. Dezember 19761
über die politischen Rechte,
gestützt auf Artikel 23 der Verordnung vom 24. Mai 19782 über die politischen
Rechte,
verfügt:
1. Die am 18. Dezember 2009 eingereichte Unterschriftenliste zu einer eidgenössischen
Volksinitiative «Abtreibungsfinanzierung ist Privatsache-Entlastung
der Krankenversicherung durch Streichung der Kosten des Schwangerschaftsabbruchs
aus der obligatorischen Grundversicherung» entspricht
den gesetzlichen Formen: Sie enthält eine Rubrik für Kanton und politische
Gemeinde, in der die Unterzeichnerinnen und Unterzeichner stimmberechtigt
sind, sowie für das Datum der Veröffentlichung des Initiativtexts im
Bundesblatt, ferner Titel und Wortlaut der Initiative, eine vorbehaltlose
Rückzugsklausel, den Hinweis, dass sich strafbar macht, wer bei der Unterschriftensammlung
für eine eidgenössische Volksinitiative besticht oder sich
bestechen lässt (Art. 281 StGB3) oder wer das Ergebnis einer Unterschriftensammlung
für eine Volksinitiative fälscht (Art. 282 StGB), sowie Namen
und Adressen von mindestens sieben und höchstens 27 Urheberinnen und
Urhebern der Initiative. Die Gültigkeit der Initiative wird erst nach ihrem
Zustandekommen durch die Bundesversammlung geprüft.
1 SR 161.1
2 SR 161.11
3 SR 311.0
Eidgenössische Volksinitiative
286
2. Folgende Urheberinnen und Urheber sind ermächtigt, die Volksinitiative mit
absoluter Mehrheit zurückzuziehen:
1. Bader Elvira, Co-Präsidentin, Nationalrätin, Vordere Bereten 547, 4717
Mümliswil
2. Föhn Peter, Co-Präsident, Nationalrat, Gängstrasse 38, 6436 Muotathal
3. Kasteler-Budde Valérie, Co-Présidente, Responsable sociale, ch. du
Curé-Desclouds 4, 1226 Thônex
4. Albietz Daniel, Einwohnerrat, Im Hirshalm 10, 4125 Riehen
5. Baettig Dominique, Dr. med. FMH, Conseiller national, rue des
Voignous 15, 2800 Delémont
6. Beutler Daniel, Dr. med. FMH, Hausarzt, Bahnhofstrasse 50, 3127
Mühlethurnen
7. Bortoluzzi Toni, Nationalrat, Betpurstr. 6, 8910 Affoltern a. Albis
8. Brönnimann Andreas, Nationalrat, Hühnerhubelstrasse 73, 3123 Belp
9. Büchler Jakob, Nationalrat, Matt, 8723 Rufi-Maseltrangen
10 Despot Fabienne, Députée au Grand Conseil, rue de la Madeleine 17,
1800 Vevey
11. Donzé Walter, Nationalrat, Grassiweg 34, 3714 Frutigen
12. Engelberger Edi, Nationalrat, Oberstmühle 3, 6370 Stans
13. Estermann Yvette, Dr. med. FMH, Nationalrätin, Bergstrasse 50A,
6010 Kriens
14. Flückiger-Bäni Sylvia, Nationalrätin, Badweg 4, 5040 Schöftland
15. Freysinger Oskar, Conseiller national, ch. de la Crettamalernaz, 1965
Savièse
16. Geissbühler Andrea, Nationalrätin, Thalmattweg 4, 3037 Herrenschwanden
17. Guillén Victor-Tobias, Kaufmann, Eierbachstrasse 1, 8155 Niederhasli
18. Helfenberger Melanie, Mitglied des Stadtparlaments Gossau, Bettenstrasse
1, 9212 Arnegg SG
19 Legrix Jean-Charles, Député au Grand Conseil, rue du Cerisier 44,
2300 La Chaux-de-Fonds
20. Messmer Werner, Nationalrat, Weinmoosstrasse 15, 8583 Sulgen
21. Meyer Marc, Dr. rer. pol., Gymnasiallehrer, Hellring 7, 4125 Riehen
22. Moor Michele, Banchiere, via Carivée 6, 6944 Cureglia
23. Müggler Dominik, Staatswissenschafter, Rebgasse 11, 4144 Arlesheim
24. Nussbaumer Urs, a. Nationalrat, Rainweg 14, 4533 Riedholz
25. Segmüller Pius, Nationalrat, Adligenswilerstrasse 109, 6006 Luzern
26. Streiff Marianne, Grossrätin, Wangentalstrasse 241, 3173 Oberwangen
27. Wäfler Markus, a. Nationalrat, Schopfstrasse 1c, 8162 Steinmaur
Eidgenössische Volksinitiative
287
3. Der Titel der eidgenössischen Volksinitiative «Abtreibungsfinanzierung ist
Privatsache – Entlastung der Krankenversicherung durch Streichung der
Kosten des Schwangerschaftsabbruchs aus der obligatorischen Grundversicherung
» entspricht den gesetzlichen Erfordernissen von Artikel 69 Absatz 2
des Bundesgesetzes vom 17. Dezember 1976 über die politischen Rechte.
4. Mitteilung an das Initiativkomitee: Initiativkomitee «Abtreibungsfinanzierung
ist Privatssache», Postfach 411, 4142 Münchenstein 1, und Veröffentlichung
im Bundesblatt vom 26. Januar 2010.
12. Januar 2010 Schweizerische Bundeskanzlei
Die Bundeskanzlerin: Corina Casanova
Eidgenössische Volksinitiative
288
Eidgenössische Volksinitiative
«Abtreibungsfinanzierung ist Privatsache – Entlastung
der Krankenversicherung durch Streichung der Kosten
des Schwangerschaftsabbruchs aus der obligatorischen
Grundversicherung»
Die Volksinitiative lautet:
I
Die Bundesverfassung4 wird wie folgt geändert:
Art. 117 Abs. 3 (neu)
3 Unter Vorbehalt von seltenen Ausnahmen seitens der Mutter sind Schwangerschaftsabbruch
und Mehrlingsreduktion im Obligatorium nicht eingeschlossen.
II
Die Übergangsbestimmungen der Bundesverfassung werden wie folgt ergänzt:
Art. 197 Ziff.8 (neu)5
8. Übergangsbestimmung zu Art. 117 Abs. 3 (Kranken- und Unfallversicherung)
Nach Ablauf einer Übergangsfrist von neun Monaten nach der Annahme durch Volk
und Stände wird bis zum Inkrafttreten der geänderten Bundesgesetzgebung jede
Bestimmung, welche den Schwangerschaftsabbruch oder die Mehrlingsreduktion
obligatorisch versichert, durch die Regelung von Artikel 117 Absatz 3 der Bundesverfassung
ersetzt.
4 SR 101
5 Da die Volksinitiative keine Übergangsbestimmung der Bundesverfassung ersetzen will,
erhält die Übergangsbestimmung zum vorliegenden Artikel erst nach der Volksabstimmung
die endgültige Ziffer, und zwar aufgrund der Chronologie der in der Volksabstimmung
angenommenen Verfassungsänderungen. Die Bundeskanzlei wird die nötigen
Anpassungen vor der Veröffentlichung in der Amtlichen Sammlung des Bundesrechts
(AS) vornehmen.

Die Motion von SVP-Nationalrat Peter Föhn wühlt die Debatte um Schwangerschaftsabbrüche wieder auf. Dieses Mal geht es um die Kosten: Föhn will den Schwangerschaftsabbruch aus dem obligatorischen Krankenkassen-Leistungskatalog streichen.

Krankenkasse bezahlt Abtreibungen

10 vor 10 vom 18.06.2009

http://videoportal.sf.tv/video?id=0228d038-e9f8-4336-8996-4588b1b7758c

Fronde sur le remboursement des avortements

A défaut de revenir sur la dépénalisation de l'interruption de grossesse, les milieux anti-avortement s'attaquent à son remboursement.


Les initiants ont jusqu'au 26 juillet 2011 pour récolter les 100 000 signatures nécessaires. (Photo: Keystone)

Les milieux anti-avortement ont lancé mardi une initiative populaire pour supprimer la prise en charge par l'assurance maladie de base.

Le comité «Financer l'avortement est une affaire privée - Alléger l'assurance maladie en radiant les coûts de l'interruption de grossesse de l'assurance de base» est composé de représentants de l'UDC, du PDC, des partis protestants PEV et UDF, mais aussi du PLR (les conseillers nationaux nidwaldien Edi Engelberger et thurgovien Werner Messmer).

Devant la presse, Peter Föhn (UDC/SZ) et Elvira Bader (PDC/SO) ont reconnu s'être lancés dans la bataille sans attendre l'aval de leur partis respectifs. Pour eux, il s'agit avant tout de mobiliser à large échelle. Les deux conseillers nationaux sont convaincus de pouvoir rallier par la suite leur formation à leur cause.

Réduire le nombre d'avortements

Les initiants jurent leur grands dieux ne pas vouloir interdire l'avortement même s'ils déplorent sa banalisation. Plus de 10 000 interruptions volontaires de grossesse (IVG) par an, c'est trop, selon Peter Föhn. A l'instar de leurs homologues américains, les anti-avortement suisses s'attaquent à la prise en charge médicale. En supprimant toute «incitation financière», le nombre des IVG s'en trouvera réduit.

Selon le comité, les opposants aux interruptions volontaires de grossesse ne doivent pas co-financer de telles pratiques via leurs primes d'assurance maladie. L'avortement n'a pas a être supporté de manière solidaire: il ne s'agit pas d'une maladie, a souligné la co-présidente du PEV genevois Valérie Kasteler.

Et de plaider la «responsabilité individuelle»: celui qui envisage la possibilité d'une IVG peut conclure une assurance complémentaire ou payer directement les coûts de l'intervention. Les initiants affirment haut et fort que leur proposition permettra de réduire les coûts de la santé. Les IVG pèsent entre 15 et 20 millions de francs par an, selon Peter Föhn.

Protéger la vie

Qu'une naissance coûte plus cher (6000 à 10 000 francs) qu'un avortement (600 francs par voie médicamenteuse, 3500 francs via une opération) n'entre pas en ligne de compte. La constitution fédérale garantit la protection de la vie, a répondu Elvira Bader.

Enfin, le comité souhaite renforcer les droits des parents. «Grâce à l'initiative, les adolescentes de moins de 16 ans ne pourront plus être poussées à un avortement à l'insu de leurs parents».

Les initiants ont jusqu'au 26 juillet 2011 pour récolter les 100 000 signatures nécessaires. Leur texte réclame qu'à compter de neuf mois après l'acceptation de l'initiative l'interruption de grossesse mais aussi la réduction embryonnaire ne soit plus couverte par l'assurance de base.

La loi pourrait prévoir de «rares exceptions concernant la mère». Selon Peter Föhn, il s'agit notamment des cas de viols ou dans lesquels la vie de la femme enceinte est en danger.



  Initiative populaire mardi26 janvier 2010

L'offensive contre l'avortement qui embarrasse le PDC et l'UDC

Un comité d'élus lance une intiative pour interdire le remboursement de l'interruption de grossesse. Remous politiques

Surprise, malaise et consternation. Huit ans après le plébiscite populaire en faveur de la dépénalisation de l'avortement, ses opposants préparent – à l'étonnement général – une nouvelle offensive. Ce mardi, un comité composé d'UDC, de PDC, d'Evangéliques et de membres de l'Union démocratique fédérale (UDF), lance une initiative populaire afin que les interruptions de grossesse, de même que la pilule du lendemain, ne soient plus remboursés par l'assurance maladie obligatoire.

Seules doivent être prises en charge, estiment les initiants, les interventions consécutives à un viol, ou si une femme court un danger de mort. Dans les autres cas, les avortements doivent rester l'affaire d'assurances complémentaires, auxquelles souscriraient les femmes qui «s'imaginent pouvoir recourir un jour à l'avortement»…

Est-il opportun de rouvrir le débat sur l'avortement? Car tel est l'enjeu de ce texte. Si son promoteur, l'UDC Peter Föhn, insiste sur la nécessité de réduire les coûts à la charge de l'assurance de base, le Schwyzois admet que des «considérations éthiques et morales» guident sa pensée. La députée PDC Elvira Bader, qui siège dans le comité d'initiative aux côtés, notamment, de son collègue Jakob Büchler (SG), renchérit: «Les personnes opposées à l'avortement n'ont pas à le cofinancer.»

Le PDC pas au courant

Si cette initiative a, a priori, peu de chances d'aboutir, elle embarrasse le PDC et, dans une moindre mesure, l'UDC. Deux partis traditionnellement divisés sur ces questions, car ils comptent une forte aile très à cheval sur les valeurs morales. D'autant que les initiateurs de ce texte n'avaient pas cru bon de prévenir leurs formations respectives. «J'en ai pris note par les médias, je suis très surprise», lâche la conseillère nationale Lucrezia Meier-Schatz, peu favorable à ce texte. «L'avortement n'est pas quelque chose à prendre à la légère. Certaines personnes se retrouvent dans des situations difficiles.»

Le démocrate-chrétien Reto ­Wehrli n'avait, lui non plus, «jamais entendu parler de cette initiative». Sur le fond, le Schwyzois rappelle qu'il était personnellement opposé à la dépénalisation de l'avortement en 2002. «Mais ce type d'initiative soulève des questions au niveau de l'égalité de traitement entre les personnes qui pourraient financer une interruption de grossesse et les autres. Le PDC doit en discuter avant que chacun fasse des déclarations en public.»

Enfin, du côté de l'UDC, le Zurichois Jürg Stahl se montre lui aussi sceptique. «Je ne suis pas sûr que le parti soutiendra cette initiative. Je suis d'accord qu'il faut revoir le catalogue des prestations remboursées par la LAMal. Mais les avortements ne posent pas de problème en terme de coûts. Il ne faut pas mélanger l'éthique et la politique.»

Surtout, les partis le savent, le peuple s'est prononcé à 72,7%, en 2002, pour une modification du Code pénal dépénalisant l'interruption du grossesse durant les douze premières semaines et l'admettant dès la 13e semaine, sous avis médical, en cas de nécessité. Le même jour, le souverain rejetait à 81,8% l'initiative «Pour la mère et l'enfant», visant à criminaliser l'avortement.

Risque de clandestinité

A noter que la loi sur l'assurance maladie a précisément été modifiée en 2002 de sorte que, «en cas d'interruption non punissable de la grossesse au sens de l'article 119 du code pénal, l'assurance obligatoire des soins prend en charge les coûts des mêmes prestations que pour la maladie».

Or, la remise en cause de ces acquis par une nouvelle initiative populaire fait hurler, du côté notamment de la gauche et des libéraux-radicaux. «C'est du fondamentalisme», dénonce la coprésidente des Femmes socialistes suisses, Maria Roth-Bernasconi. «Depuis dix ans, le nombre d'interruptions de grossesse est resté stable (ndlr: 10 848 en Suisse en 2008). Avec un tel texte, on risque de provoquer des avortements clandestins.»

«Raviver de vieux démons»

Le lancement d'un projet visant à exclure les interruptions de grossesse du remboursement déclenche également le courroux des Femmes libérales-radicales, qui ont abordé ce point lundi, lors de leur séance de comité. «Nous sommes choquées de voir de vieux démons ravivés», note leur présidente, Jacqueline de Quattro. «Les passions autour de cette question sont apaisées, la population a finalement laissé cette décision aux femmes au bout d'un long processus, et cette politique porte aujourd'hui ses fruits. Pourquoi mettre en péril un système qui fonctionne, sous prétexte d'une réduction des coûts?»

Sans compter, ajoute la conseillère d'Etat vaudoise, que les frais à charge des caisses maladie, dans le domaine, sont peu élevés. Soit environ 600 francs durant les sept premières semaines de l'interruption de grossesse, 1500 pour les interruptions plus tardives. «Cela serait dévastateur si les femmes qui ne peuvent pas s'offrir un spécialiste s'adressent à un faiseur d'anges», poursuit Jacqueline de Quattro. Les frais qui en résulteraient seraient d'ailleurs bien plus élevés que les économies escomptées. Et la présidente des Femmes PLR de dénoncer «une parfaite hypocrisie. Les femmes confrontées à des décisions douloureuses sont de nouveau montrées du doigt. En plus, c'est un déni de démocratie».

http://www.genethique.org/parus/lettres/2009/septembre.as... L'objection de conscience des pharmaciens 

http://www.genethique.org/revues/revues/2009/septembre/20...  Objection de conscience des pharmaciens : la loi française

http://e-deo.typepad.fr/mon_weblog/2009/09/exclu-e-deo-no... Nouveau film pro vie: Sois un homme

http://www.youtube.com/colinpri1#play/uploads video 1,29m - Obamacare: Seniors need not apply




Texte français plus bas

Volksinitiative: Abtreibung soll privat finanziert werden

Bern, (Kipa) "Abtreibungsfinanzierung ist Privatsache": Unter diesem Titel beginnt am 26. Januar ein überparteiliches Initiativkomitee aus Schweizerischer Volkspartei (SVP), Christlich-Demokratischer Volkspartei (CVP) und Evangelischer Volkspartei (EVP) mit der Unterschriftensammlung für eine neue Volksinitiative.

Die Initiative hat zum Ziel, den straflosen Schwangerschaftsabbruch aus der Grundversicherung zu streichen. "Wir wollen den Bundesrat unter Druck setzen. Dies, nachdem er eine gleichlautende Motion abgelehnt hat", sagte die Solothurner CVP-Nationalrätin Elvira Bader gegenüber dem Zürcher "Tages-Anzeiger". (23. Januar).

   (kipa/job)


Abtreibungen selber zahlen?

Frauen, die ihre Schwangerschaft mit einer Abtreibung beenden lassen, sollen dafür selber bezahlen: Dies fordert eine Volksinitiative, die am Dienstag von einer Allianz aus CVP- und SVP-Politikern lanciert werden soll.

Interaktiv-Box

Initianten der Initiative «Abtreibungsfinanzierung ist Privatsache» sind die Nationalräte Peter Föhn (SVP, SZ) und Elvira Bader (CVP, SO). Mit «Blick auf die Gesundheitskosten» und aus «moralischer und ethischer Sicht» wolle er das Volk entscheiden lassen, ob eine Abtreibung von der Grundversicherung gedeckt werden solle oder nicht, sagte Föhn zur «SonntagsZeitung».

Er hatte bereits letztes Jahr mit einer Motion im Parlament dasselbe Anliegen vorgebracht. Der Bundesrat lehnte es ab; die Kostenübernahme für Abbrüche sei restriktiv ausgestaltet und gerechtfertigt. 2008 wurden rund 10 800 Schwangerschaftsabbrüche durchgeführt.

(20 Minuten)

La Suisse oblige tous ses enfants à financer tous les avortements qui sont devenus tous "gratuits".

Nous les payons par nos impôts et par nos primes d'assurances...



Les animaux sont mieux protégés que les embryons humains.

Pour une objection de conscience.

Seule une réduction du nombre de prestations d'une part, et en récompensant les comportements responsables d'autre part, permettront d'avoir une influence durable et concrète des coûts de la santé.

On arrive à des abus odieux.

Le conseil fédéral parle d'un coût "minime" des avortements ( 20 millions de Fr ).

Mais ils oublient ou cachent le fait que les coûts principaux viennent des soins psychiatriques et psychologiques graves, souvent pour toute leur vie, des femmes blessées par la mort de leur enfant, dont un pourcentage tombe dans la folie ( à charge pour tourte leur vie ) ou dans des dépressions chroniques ( Total des soins pour toute la Suisse à plusieurs centaines de millions de francs). A contrario, un enfant donné en adoption ne crée pas de problèmes graves car la mère naturelle sait qu'il est vivant.



Nous sommes actuellement tous obligés, dès la naissance, de payer chaque mois des sommes de plus en plus élevées pour des "soins" horribles, à des assurances qui doivent payer les avortements ( loi de 1942, passée en douce au milieu de la guerre) et risquer leurs réserves à la bourse; nous sommes contraints, sous peine de prison (sic) ou d'amende ( pas d'objection de conscience permise), de payer des soins qui n'en sont pas, soit par exemple les traitements très coûteux pour transformer le sexe et le maintenir chaque mois dans un état artificiel et contraire à la nature ( par exemple faire pousser des seins à des hommes qui désirent être des femmes), l'avortement tellement banalisé (50 000 par année) à au moins Fr 2000.- par cas, soit un minimum de 100 millions de Fr par année, sans compter les suivis psychologiques et psychiatriques des personnes impliquées, qui coûtent chaque année des montants toujours plus élevés, ou aussi la drogue et autres abus, ( faire payer les primes complémentaires des riches par les pauvres).

J.Smeaton: Ados et avortements à répétition

Aujourd'hui le Telegraph et le Daily Mail rapportent que, selon les statistiques officielles, plus de 5'000 adolescentes en dessous de 20 ans ont eu des avortements à répétition en 2008. Ces chiffres ont été révélés en réponse à la question parlementaire posée par Anne Milton, ministre de la santé du 'shadow' ministère.

Il est rafraîchissant de lire le commentaire sur l'avortement de Mme Milton tel qu'il a été rapporté. : "Les avortements peuvent être incroyablement traumatisants pour les femmes et mettre un terme à une grossesse imprévue peut avoir un effet préjudiciable à la santé mentale

L'une des solutions proposées par Mme Milton à la porte tournante des avortements à répétition des adolescentes est une information améliorée du gouvernement sur la contraception.

Cependant, comme la doctoresse Judith Bury, ancienne directrice d' Edinburgh's Brook Advisory Centre, une agence qui oriente vers l'avortement reconnaît : " Il y a des preuves écrasantes, que contrairement à ce que vous pourriez vous attendre, la disponibilité de la contraception conduit à une augmentation du taux d'avortement.."(1) " Sex Education for Bureaucrats", The Scotsman, 29 June, 1981

Je suis, néanmoins, d'accord avec Mme Milton sur le fait que le phénomène des avortements à répétition chez les adolescentes est une conséquence de la stratégie gouvernementale sur la grossesse adolescente et la santé sexuelle (consequence of the government ).

Ainsi que Christine Hudson de SPUC Plymouth l' a écrit ( wrote ) le mois passé pour ce blog: "l'avortement et la pilule du lendemain sont les instruments du lynchage de la stratégie gouvernementale quant aux grossesses adolescentes. Le but est de débarrasser les enfants et les jeunes femmes des grossesses imprévues. Ces grossesses sont le résultat de l'activité sexuelle encouragée par le gouvernement et notre société, avec peu ou pas d'attention accordée à l'age du consentement."

Les propositions du gouvernement pour l'éducation sexuelle obligatoire résulteront en encore plus de promotion de l'avortement dans les écoles. Si le Parti Conservateur souhaite mettre fin à l'augmentation des avortements chez les adolescentes, alors il doit bloquer les propositions du gouvernement contenues dans le projet de loi sur les Enfants, Ecoles et Famille (contained in the Children, Schools and Families bill ).

De même le Service d'Education Catholique (CES) en Angleterre et au Pays de Galles doit renverser son soutien général à l'éducation sexuelle obligatoire  (general support ) Les avortement des adolescentes ne diminueront pas tant que le droit des parents à agir comme premiers éducateurs de leurs enfants tel qu'il est reconnu dans la Déclaration Universelle des Droits Humains, (recognised in the United Nations Universal Declaration of Human Rights) , ne sera pas manifeste dans la loi et la politique.

  Merci d'agir maintenant afin de mettre un terme à l'éducation sexuelle obligatoire et à l'agenda anti vie du gouvernement. Merci de lire et de répondre à l'alerte de la campagne de SPUC (campaign alert ).

 John Smeaton, 8.12.2009 http://spuc-director.blogspot.com/2009/12/prevent-teen-re... 

http://ps139.blog.tdg.ch/archive/2009/02/26/asme-toujours... ASME: Toujours plus d'adolescentes enceintes.

http://spuc-director.blogspot.com/2009/12/catholics-can-h... Les catholiques peuvent honorer l'Immaculée Conception en s'opposant au projet de loi sur l'éducation sexuelle obligatoire.

L'analyse de John Smeaton pour la Grande Bretagne rejoint celle de Colin Mason ( www.pop.org ) pour les Etats-Unis d'Amérique, ainsi qu'on peut la lire dans son article du 7.12.2009 intitulé 'Le sénateur Baucus veut enseigner la sexualité à vos enfants' : « C'est marrant, les choses qui ne font jamais la une.  Prenez l'amendement récent au plan de la santé proposé au Sénat par Max Baucus (Sénateur démocrate du Montana), chairman du Senate Finance Committee. Ce langage alloue quelques centaines de millions de dollars de votre argent pour « L'Education à la responsabilité personnelle pour former à l'age adulte. » ( …). Vous voyez, on en revient toujours au sexe. Comment le fait d'être traité comme un animal est une recette pour une transition à succès vers l'age adulte= Si le droit d'avoir du sexe de promiscuité peut avoir été le cri de bataille de la génération actuellement en charge de la législation, il est injuste de présumer que tous les enfants d'aujourd'hui aspirent nécessairement à ce triste état. L'Amérique a l'un des taux les plus élevés de grossesses adolescentes en Occident précisément à cause de l'éducation au sexe graphique et sans valeurs à laquelle les enfants sont constamment exposés. N'est-il pas temps que nos législateurs arrêtent de souhaiter une génération d'enfants aussi débauchés qu'eux-mêmes ? Les jours de Woodstock et de l'amour libre ont disparu depuis longtemps et ce n'est pas une quantité de financement par les impôts et les mandats législatifs qui vont les faire revenir. »

Les divers PS du jour:

 

http://politicalticker.blogs.cnn.com/2009/12/05/baucus-ad... 5.12.2009 Le Sénateur Baucus (promoteur d'éducation sexuelle pour enfants) reconnaît avoir nominé sa petite amie au poste d'US Attorney

http://www.ontheissues.org/Social/Max_Baucus_Abortion.htm...  http://www.nrlc.org/press_releases_new/Release091609.html...  Baucus - 100% avortement

http://www.lifenews.com/nat5736.html M. Obama viole encore sa promesse de ne pas financer l'avortement en soutenant le projet de loi au Sénat -  Au Nevada d'Harry Reid - pro avortement-, seulement 39% des électeurs soutiennent Obama Care quand 53% s'y opposent. Autant pour des perspectives de réélection…

http://www.gopusa.com/theloft/?p=170 Bobby Eberle sur la réforme de la santé et l'attitude de M. Reid , 8.12.2009: Quand tout le reste échoue, accuse tes opposants de racistes.

http://www.lifenews.com/nat5740.html Les évêques américains encouragent les faiseurs de loi à soutenir l'amendement Nelson (pro vie)

https://secure.conservativedonations.com/pijn_fax_bluedog... Encore temps pour sauver les bébés et les papies-mamies d'Obama Care

http://www.uklifeleague.com/ http://www.uklifeleague.com/enews/071209.html les courriels d'UKLIFELEAGUE au 7 décembre

http://news.bbc.co.uk/2/hi/health/8366326.stm   3D MRI Scans : 1minute 53 Avec cette technologie de pointe destinée à mesurer la croissance du cerveau du bébé, comment oser persister à dénier l'humanité du tout petit pour lui tuer sa vie ?

http://www.dailymail.co.uk/news/article-1232191/Dr-Kather...   Dr Katherine Rake, féministe radicale a été spécialement choisie par le gouvernement britannique – à la tête du Parenting and Family Institute – pour achever ce qui reste de la famille nucléaire dont elle aime se moquer en public.

http://www.telegraph.co.uk/earth/copenhagen-climate-chang... Trilatéralement votre... Copenhague et l'empreinte - de quoi ? -... Tout le monde doit être égal mais certains en ont plus le droit que d'autres. Limousines, jets privés et caviar… pour ceux qui s'imaginent être les maîtres de notre droit de vivre (Socialisme de luxe à la Bilderberg – pour infos demander à M. Bayrou et Cie) – Transports compris, la conférence de 11 jours utilisera 41'000 tonnes de dioxine de carbone – plus que la production journalière de 30 pays… 

http://www.zenit.org/article-22861?l=french Lettre du Conseil d'Eglises Chrétiennes à N. Sarkozy : Changer notre mode de vie.

http://lebaldesdegueulasses.blogspot.com/2009/12/end-of-w...   Le bal des dégueulasses : la fin du monde : « nos crapauds nous promettent le bonheur sur Terre pour certains, ce qui exclue : les moches, les malades, les foetus pas désirés ou niés, les pauvres, les pas métissés, ceux qui dégagent du CO2, ceux qui n'aiment pas payer d'impôts, ceux qui aiment se sentir chez eux, etc, etc, bref, pas grand monde. Et bizarrement, leur altruisme militant ressemble de plus en plus à un égoïsme qui a pris goût au sang, et qui n'aime surtout pas qu'on lui tende un miroir où il puisse voire l'horreur et l'hypocrisie qui dégoulinent de sa bouche. »

http://ciel-bleu.blogspot.com/2009/12/voila-un-exemple-du... L'avortement post natal : Ces médecins néerlandais qui en sont maintenant à euthanazier des bébés qui ne souffrent pas mais dont ils envisagent une mauvaise qualité de vie.

http://euthanasier-c-tuer.org/blog/ Un regard catho sur l'eutha-nazie

http://www.chretiente.info/200912050444/les-liens-entre-l... Les liens entre l'avortement et l'holocauste. La différence de votation quand les peuples reçoivent les images de l'avortement (Irlande = Niet) ou le baratin idéologique soft des droits de la femme (Portugal et Suisse = Da).

http://www.sekotia.com/pdf/ft-isadora-bibiana.pdf ' Vient de paraître: 'D'Isadora à Bibiana: Le Nouvel Avortement et l'Holocauste' par Santiago Mata

http://www.aciprensa.com/noticia.php?n=27757 Ce qui se passe en Espagne où les législateurs viennent de recevoir des albums avec photos des petits massacrés tels que retrouvés dans les poubelles des cliniques espagnoles.

http://www.rte.ie/news/2009/1130/abortion.html Victoire pro vie à la cour de Belfast

http://www.cailletm.com/  'J'étais franc maçon' vient de paraître en français et en portugais. Pour la première fois, l'auteur y décrit les initiations et les compromissions de son parcours maçonnique.

http://www.genocidio.biz/

http://surlespasdessaints.over-blog.com/article-priere-pour-la-france-et-pour-le-monde---catherine...



Tous contre la LAMAL qui finance notamment le RU486...

Non à la "solidarité du gaspillage qui finance la LAMAL (assurance-maladie).

Nous vous recommandons de signer et faire signer cette nouvelle l'initiative contre la LAMAL, qui supprime cette obligation inique. Grâce à cette initiative, nous retrouvons notre liberté face aux abus manifestes et de plus en plus criants de cette loi qui porte bien son n o m ; elle porte au mal en soutenant la drogue dure (héroïne), l'homosexualité, l'avortement, le RU486 qui charge encore plus les femmes psychologiquement, car elles sont seules à pleurer.

Nous sommes actuellement tous obligés, dès la naissance, de payer chaque mois des sommes de plus en plus élevées pour des "soins" horribles, à des assurances qui doivent payer les avortements ( loi de 1942, passée en douce au milieu de la guerre) et risquer leurs réserves à la bourse; nous sommes contraints, sous peine de prison (sic) ou d'amende ( pas d'objection de conscience permise), de payer des soins qui n'en sont pas, soit par exemple les traitements très coûteux pour transformer le sexe et le maintenir chaque mois dans un état artificiel et contraire à la nature ( par exemple faire pousser des seins à des hommes qui désirent être des femmes), l'avortement tellement banalisé (50 000 par année) à au moins Fr 2000.- par cas, soit un minimum de 100 millions de Fr par année, sans compter les suivis psychologiques et psychiatriques des personnes impliquées, qui coûtent chaque année des montants toujours plus élevés, ou aussi la drogue et autres abus, ( faire payer les primes complémentaires des riches par les pauvres).

Tous les soins hospitaliers peuvent être couverts par une assurance beaucoup plus efficace qui ne contribue pas aux gaspillages cités ci-dessus, avec la conscience en paix, car libérée des abus et du prix du sang des innocents sacrifiés à l'autel de notre société de consommation.

Les sommes économisées, placées à votre guise, sont votre assurance personnelle pour les autres cas, sans compter d'autres assurances moins chères possibles (Pro Life, Astra). La nouvelle idole, dont vous pouvez maintenant vous libérer par étapes, est la prétendue sécurité étatique et sociale ( qui est en fait un esclavage subtil ).

Les enfants menacés de massacre doivent pouvoir bénéficier du Droit de grâce cantonal et être adoptés, car la peine de mort n'existe plus en Suisse.

Ces sécurités "sociales" sont des mensonges pour les jeunes actuels, car les promesses faites par des irresponsables qui ne veulent ni voir ni comprendre nous amènent au trou démographique et à la chute de notre civilisation. Les prestations seront payées en monnaie de singe. En votant oui, vous donnez un signe fort des vertus de nos ancêtres attachés à la défense de leurs libertés. Se libérer du joug de l'obligation faite de financer les flèches qui tuent la descendance de Guillaume Tel] vous rendra heureux de tirer sur la pomme des liens subtils clé la consommation et, le coeur allégé de ce poids, vous pourrez remercier Nicolas de Flue qui nous a si souvent sauvés des pièges de l'histoire. En diffusant de suite ce message, vous rendez le monde plus beau et juste en protégeant les plus faibles, qui sont sans voix.

Une famille nombreuse paye plus de 24'000 Fr par année, sans cas de maladie, ce qui représente une inflation d'environ 15 %, mais qui n'est pas dans le taux officiel, car les hausses des primes sont "oubliées".

Même les gouvernements cantonaux essaient de combattre la LAMAL.




Nous pourrions tous au moins vivre dans la simplicité et éviter ces
milliers d'avortements, de mort de faim et de maladies simples à
soigner, grâce aux machines, aux robots et au progrès. Des voleurs
profitent de la productivité. Il est bon de se partager ou mieux de
distribuer les profits et les produits des machines. Mais nous vivons
encore sous un vieux système qui est une structure de vol subtil et
caché basé sur la peur de la disette.

« Dans son essence la création de monnaie ex nihilo actuelle par le
système bancaire est identique … à la création de monnaie par des faux
monnayeurs. Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule
différence est que ceux qui en profitent sont différents »
Maurice Allais
Physicien et économiste
Prix Nobel d'économie en 1988

De plus, Helmut Creutz a calculé que, du fait de l'ajout du coût de
l'intérêt dans chaque étape et à chaque cycle de la production des
biens, ceux-ci nous coûtent à tous le double et que tous ceux qui
travaillent consacrent trois heures par jour en plus pour en payer les
conséquences.
Et voilà que, nos logements sont 77 % plus petits ...que ceux que nous
pourrions avoir sans les sangsues subtiles du système de petits
copains.
La plupart des dettes bancaires sur les communes, cantons, Etats,
régies, entreprises etc sont du vol rusé par création monétaire du
néant.
Ceux qui paient cette gabegie, c'est nous, les tondus, toujours plus
nombreux, au prix de maintes maladies, dépressions, haines,
disputes...
Les tondus deviennent de plus en plus nombreux et le processus,
exponentiel, s'accélère. Les sangsues vont se trouver sur des corps
tellement malades que le système peut s'écrouler sans une réaction
vigoureuse de personnes avec du caractère. www.pervenit.com

Les petits de l'argent prennent la place des petits des hommes....la
démographie s'écroule et l'économie suit...notre civilisation est
mortelle...

Propositions de solutions  voir www.pavie.ch

Les banques poussent à la mesquinerie, aux hausses d'amendes,
d'impôts.... Elles organisent les requins à exploiter les plus
faibles.

Primes d'assurances, loyers exorbitants, taxes et impôts galopants,
coût de la vie, amendes de stationnement,etc.… Politique des petits
copains, ententes secrètes, gaspillages, escroqueries, mafia, cartels,
monopoles, chômage, crise, petits logements, stress, alcool,
drogue,....

Nous sommes libres de réagir contre ces vols subtils.

Un pour tous,
tous pour un.

Gauche, droite, c'est vieux jeu.

Soyons unis pour défendre les plus faibles.
 

Suisses, tirez sur la pomme, pas sur l'enfant.


Assurance maladie et initiative fédérale.

 

La Suisse est le résultat d'une longue histoire de confiance mutuelle entre des minorités très différentes, réunies pour résister à la malice des temps.

 

Nous sommes obligés juridiquement de contribuer au meurtre de petits innocents, sous la menace de 6 mois de prison. (sic) .

 

1) En effet, l'assurance-maladie est obligatoire. Cette obligation est rendue "indispensable" par les colossaux gaspillages de notre système.

Au lieu de réformer les gaspillages, on écrase les cotisants sous des hausses de plus en plus lourdes.

2) Le premier gaspillage à éradiquer est celui des vies humaines. En effet, le nombre d'avortements est si grand qu'il est maintenu secret (secret d'État). Il coûte si cher à la collectivité, surtout du fait des conséquences dramatiques sur les protagonistes de ces " opérations " dont les victimes sont les bébés tués et leurs mères qui souffrent souvent pour le restant de leurs jours. Il est de plus prouvé que l'avortement augmente considérablement les risques de cancer et de stérilité.

3) Mais le comble est la menace de prison à l'encontre des citoyens honnêtes, désireux de protéger les plus pauvres et les plus faibles de notre société, les nouveaux conçus.

 

4) Les objections:

4.1) Le compromis:

Le principale objection viendra de ceux qui veulent vivre de compromis. Mais parfois leurs compromis équivalent à des compromissions. Il y a en effet des sujets non négociables.

Accepteriez-vous de manger un superbe gâteau, mais avec une dose mortelle de cyanure noyée dans la masse ?

 

Ils ont vendus la contribution obligatoire au financement de meurtres contre un avantage pécuniaire de quelques sesterces. Ceci rappelle étrangement l'histoire, sous réserve de la nouveauté de l'obligation, sous menace de prison. …

 

4.2) La guerre civile:

L'autre argument est que nous créons la guerre civile. Ceci est faux car la guerre civile a été créée par eux, guerre entre les vivants qui tuent (ou laissent tuer) les faibles par dizaines de milliers chaque année. (plus qu'en Irak). Ce n'est pas en fermant les yeux que vous effacerez cette réalité sanglante. Au contraire, en misant sur l'amour et l'adoption, vous apporterez la paix et la concorde.

4.3) L'article 120 CPS:

Certains vous diront que ce n'est pas grave car on ne rembourse que les avortements faits sous l'article 120 CPS (choix entre la vie de la mère et de l'enfant). Cette position ne voit pas la réalité des faits. En effet, il est de notoriété publique car ces cas sont quasi-inexistants, alors que les avortements se comptent par dizaines de milliers. Ceux qui ne respectent ni la lettre ni l'esprit de la loi actuelle veulent nous obliger à tremper nos mains dans le sens d'innocents. Par paresse, par ignorance et souvent par compromission, ils veulent que rien ne se passe. Ils laissent ainsi les profiteurs (des gynécologues aux revenus exagérés) et leurs complices accomplir leur sinistre besogne.

4.4) Les économies seraient ridicules:

Ils avancent même l'idée de généraliser le RU-486 afin de faire baisser les coûts. Mais ils oublient ou cachent le fait que les coûts principaux viennent des soins psychiatriques et psychologiques graves, souvent pour toute leur vie, des femmes blessées par la mort de leur enfant, dont un pourcentage tombe dans la folie ( à charge pour tourte leur vie ) ou dans des dépressions chroniques ( Total des soins pour toute la Suisse à plusieurs centaines de millions de francs). A contrario, un enfant donné en adoption ne crée pas de problèmes graves car la mère naturelle sait qu'il est vivant.

 

4.5) C'est une loi sociale:

Non, c'est une loi socialiste, centralisatrice et gaspilleuse. C'est l'habitude universelle des socialistes de dépenser l'argent des autres. Le problème, avec les déficits chroniques actuels, c'est que cet argent se raréfie. De plus, elle n'est pas du tout sociale. Elle écrase les petits, les familles, les femmes, les actifs et même les vieux sous des hausses de primes vertigineuses (de 40 à 60%). Pour les jeunes, vu l'expérience vaudoise, de 300 %.

De plus elle aggrave le déficit démographique. En effet, elle consacre la plus petite augmentation des dépenses à la maternité (+0,7%).

L'étatisation de la médecine menace, les gaspillages seraient pires, la centralisation certaine et la prolifération des fonctionnaires coûteuses.

4.6) C'est une loi moderne:

Elle est surtout centralisatrice. Le système collectiviste a fait faillite partout.

4.7) Elle permet la maîtrise des coûts:

Avec un catalogue de soins qui s'élargit, avec des subventions gourmandes, des médecins fonctionnaires et des patients à l'assistance publique du fait des hausses radicales des primes, les coûts seront vertigineux. Qui paiera? les contribuables. La Confédération a déjà 80 milliards de dettes, plus 7 milliards chaque année.

4.8) L'argent serait mieux utilisé:

Quelle blague! Le message du Conseil fédéral confirme que 60% de la population sera subsidié. Le canton de Vaud, avec une loi analogue, devrait payer les primes d'environ 100'000 de ses habitants.

4.9) Elle est favorable aux femmes et aux personnes âgées:

Les femmes en âge d'avoir des enfants verront des choses étonnantes et des hausses de primes colossales, si elles veulent pouvoir choisir leur gynécologue ou leur médecin traitant. De même pour les personnes âgées.

4.10) Une médecine de qualité pour tous:

Ceci est un mensonge pur et simple. Les expériences françaises, anglaises, suédoises sont là pour le confirmer. De plus, les médecins ne seront plus libres de prescrire ce qu'ils veulent, en fonction du progrès technique, mais devront se limiter à un catalogue fédéral.

4.11) Elle rend les assurés plus responsables:

Encore un mensonge. Elle les déresponsabilise et les pousse à abuser du système.

4.12) Elle restaure la solidarité:

Ceux qui paient sont les faibles, les enfants à naître, les femmes enceintes, les personnes âgées (l'euthanasie active menace). Les pouvoirs exorbitants donnés à la Berne fédérale annonce le Leviathan des temps modernes.

5) Les dépenses supplémentaires:

Elles avaient été budgétisées à 1,74 milliards la première année. Ce budget a été, comme toujours, largement dépassé…. Sans compter les hausses de subventions de 1,83 milliards la première année à 2,18 milliard la quatrième année, à compléter par les subsides cantonaux qui atteindraient 1,09 milliards.

Ces dépenses supplémentaires sont en grande partie causés par les déséquilibres provoqués par l'avortement. En effet, les soins de longue durée aux femmes devenues dépressives ou même folles ( une bonne partie des 900 millions budgétés ) ou soumises à des traitements à répétition de psychothérapeutes qui représente une bonne partie des 135 millions budgétés.

Il est symbolique de voir un très petit 0,7% (12 mio) qui avait été consacré à la maternité. D'autant plus que les pressions sont fortes pour financer les fécondations in vitro, très coûteuses et très aléatoires et qui répondent souvent à un abus d'avortement ou de contraceptifs abortifs.

II. L'initiative socialiste d'un caisse unique.

 

Celle-ci est de la même eau que le projet analysé ci-dessus. Elle encourage la centralisation, le gaspillage et la déresponsabilisation. Le collectivisme a raté partout. Économisons un échec de plus et votons non à cette initiative.

 

III. Conclusions

Mais restons optimistes. Trouvons les énergies nécessaires pour refuser l'inacceptable, la cotisation au meurtre rituel sur l'autel de la société de consommation.

En signant cette initiative, nous misons sur l'avenir avec des enfants.

Ouvrons notre pays à une jeunesse qui frappe à notre coeur, favorisons les adoptions, les aides aux familles, le salaire maternel, mesures qui relanceront notre économie. favorisant une demande solvable et positive  Nous avons eu le plan Wahlen, mobilisateur d'énergies et sauveur de la Patrie, ayons le plan de Mme Marie-Laure Beck, a. présidente du Grand-Conseil genevois, en faveur des familles et de l'adoption.

 

 Comme le disait récemment le Professeur Jérôme Lejeune,  prix Robert Kennedy, Oh Suisses, tirez sur la pomme, pas sur l'enfant.

 

Merci d'avance pour votre signature. Faites sigber vos amis et vos proches en leur remettant l'argumentaire résumé ci-joint ou en vous en inspirant afin d'écrire des lettres de lecteurs ou des articles de fond.

 

L'heure est à l'action et à la défense de la substance de notre avenir, qui, comme toujours, passe par la femme.

 

François de Siebenthal



 

 

Résumé (encadré)

 

Suisses, tirez sur la pomme, pas sur l'enfant.

 

 

Sous menace de prison (sic) art. 92 de la Lamal (resic, en français fédéral, qu'elle porte bien son nom), nous sommes obligés:

1) de contribuer financièrement au crime abominable de l'avortement (art. 30 et art 3);

2) de creuser encore plus les déficits fédéraux et cantonaux (de plus de 2 mia par année ) et d'augmenter les impôts fédéraux et cantonaux;

3) d'accepter la violation du secret médical;

4) d'ancrer une loi collectiviste;

5) d'écraser les femmes et les personnes âgées sous des primes toujours plus lourdes et de tripler celles des jeunes;

6) de noyer les responsabilités et fonctionnariser les médecins;

7) d'accepter les gaspillages honteux en favorisant les parasites et les exploiteurs en surchargeant les actifs et les familles;

8) de favoriser un état policier, fouineur, tracassier et centralisé à Berne en acceptant des médecins imposés par l'État;

9) de confirmer la pratique anti-économique qui consiste à obliger les caisses bien gérées à combler les trous des caisses mal gérées.

10) REFUSONS DE NATIONALISER LES PERTES ET DE PRIVATISER LES BÉNÉFICES.

 

LE CONTRIBUABLE N'EST PAS UN MOUTON QUE L'ON PEUT INDÉFINIMENT TONDRE.



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