How to implement it ? Comment la rendre active ?

dimanche 13 décembre 2009

Les vaccins, cheval de Troie de la dépopulation.

La politique impérialiste de dépopulation
Un témoignage du terrain

Une jeune mère chinoise regarde son enfant devant l'inscription "le contrôle des naissances est une politique de base de notre pays"

Extrait:
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Le contrat stipule que les gouvernements n'ont pas le droit de faire analyser ces vaccins. S'ils veulent cependant effectuer un contrôle, ils ne peuvent le faire qu'auprès de trois laboratoires qui dépendent exclusivement de la Banque Mondiale. Chaque fois que nous avons fait analyser de manière indépendante ces vaccins prélevés là-bas, (Argentine, Nicaragua, Philippines, Mexique, etc) - entre autres les vaccins antitétanique, antidiphtérique, antivariolique, et plus récemment le BCG et le vaccin contre l'hépatite B - nous avons constaté que ces vaccins-là contiennent systématiquement la fameuse hormone hCG ou chorionique-gonadotrope. Le contrat imposé par le FNUAP et l'USAID prévoit que les gouvernements doivent vacciner toutes les femmes enceintes 2 à 3 fois durant leur grossesse - en France c'est interdit - ainsi que les petites filles, (et pas les petits garçons !) On s'est rendu compte que ce vaccin contenait dans 4 cas sur 5 l'hormone chorionique-gonadotrope synthétique.

C'est une hormone que l'enfant, quelques heures après sa conception, envoie à sa maman, pour se faire reconnaître et ne pas se faire détruire par le système immunitaire maternel ; lorsque le corps de la mère la détecte, il comprend que ce n'est pas un corps étranger à éliminer ou à phagocyter mais que c'est un bébé, et il bloque donc son système immunitaire pour implanter l'embryon dans l'utérus. Les "birth-controllers" mettent cette hormone hCG, légèrement modifiée, dans les vaccins et, en vaccinant ainsi la mère enceinte, on fait que la mère produit des anticorps anti-hCG qui passent dans l'enfant ; or l'enfant dans le sein de sa mère n'a pas de système immunitaire fonctionnant à ce moment-là. Quand la petite fille naît, on la vaccine avec le vaccin antitétanique 6 fois dans la première année de sa vie, puis les médecins passent de nouveau dans les écoles, en utilisant l'arme de la peur et de l'ignorance, après les premières règles et revaccinent toutes les jeunes fillesà et jamais les garçons. C'est effrayant. Lorsque la jeune fille va se marier, elle va concevoir un enfant qui va lui envoyer cette même hormone hCG, pour lui dire: "Maman, je suis là!" - mais au lieu de reconnaître cette hormone comme signe de la présence du bébé, le système immunitaire de la mère va l'identifier comme un agresseur ; elle va envoyer des anticorps pour détruire cette molécule, c'est à dire qu'elle va couper le contact vital entre l'enfant - âme immortelle - et sa mère. Cela s'appelle un crime (avortement provoqué).

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Le Père Giorgio, de formation monastique et médicale exerce son ministère en Amérique latine, en extrême Orient et en d''autres parties du Monde. Il est témoin de la tentative d'infiltration de ces continents par la culture de mort anti-femme et anti-famille, notamment sous forme de contraception, d'avortements, de stérilisations forcées, de vaccins abortifs, de perversion de l'intelligence par les moyens de communication (messages directs ou subliminaux), de tromperies, etc.

Il fait actuellement une tournée en Europe pour dénoncer cet impérialisme eugéniste, par des conférences, radios, etc.

Pourquoi la culture de mort ?

Ce qui motive la culture de mort, ce n'est pas d'abord l'argent : il s'agit essentiellement d'une lutte spirituelle ; St Paul dit que notre lutte n'est pas contre des êtres de chair et de sang, mais contre des puissances de l'air, c'est à dire contre le Malin, le démon.

Je crois que c'est important, parce qu'on assiste ici à une lutte de l'ange des ténèbres, Lucifer, Satan, contre Dieu. Une lutte perdue d'avance, il le sait très bien ; mais comme le démon ne peut pas toucher Dieu, il va tâcher de Le toucher dans Sa création et surtout dans Ses créatures les plus précieuses : les âmes immortelles ; empêcher Dieu de les créer pour combler le Ciel d'élus et précipiter le plus possible d'âmes en Enfer. D'où deux grands types d'attaques :

1) rendre le monde apostat, rejetant son Créateur en multipliant les tentations et en rendant la vie en état de grâce presque impossible aux Chrétiens.

2) détruire l'ensemble famille-femme-sexualité. Il a commencé depuis le paradis terrestre car la condamnation qu'il a reçue («elle t'écrasera la tête», Genèse 3:15) lui est restée en travers de la gorge. Son ennemi est la femme dans son double mystère de Virginité et de Maternité ; c'est d'abord contre elle qu'il va déclencher l'attaque. En effet Dieu ne crée pas les âmes tout seul mais les co-crée avec un couple humain, grâce au don extraordinaire de la "sexualité" - que Dieu n'a pas donné aux anges - dans le sein de la famille et très particulièrement dans le corps de la femme.

La sexualité est quelque chose d'extraordinaire que Dieu a inventé, et l'adversaire a découvert qu'il était relativement facile de la pervertir chez les humains en détournant ce don de ses objectifs. Il se sert dans ce travail de destruction d'un certain nombre d'organisations internationales très puissantes et sectaires, toutes liées à l'idéologie eugéniste.

Ces organisations font depuis bientôt un siècle un travail d'influence considérable, alors que les Églises leur ont laissé le terrain quasiment libre.

La méthode appliquée au Tiers-Monde

Le planning familial américain a exercé de multiples pressions avec succès sur les politicien américains. En 1969 son vice-président, Frederick S. Jaffe résumait la trentaine de mesures qu'il prônait pour réduire la fertilité1 :

  • Restructurer la famille par la taxation du mariage et une taxation supplémentaire par enfant.
  • Forcer les femmes à travailler à l'extérieur sans fournir de crêches.
  • Limiter ou supprimer les aides à la maternité et aux familles nombreuses.
  • Faire avorter de force les femmes non mariées.
  • Institution du permis de grossesse.
  • Diverses incitations financières à la contraception, la stérilisation et l'avortement.
  • Stérilisation obligatoire après le second enfant.
  • Inciter les jeunes à l'homosexualité ou à la promiscuité sexuelle hors mariage.
  • Infecter les réseaux d'eau potable avec des contraceptifs.
  • etc.

Toutes ces mesures sont conçues pour être imposées aux pays en échange de promesses d'aide économique ou autres.

Cette politique eugéniste est devenue une réalité de plus en plus présente et l'on observe maintenant :

  • La promotion de l'avortement défini comme un droit fondamental de la femme2.
  • L'infection des réseaux d'eau potable et des suppléments ali­mentaires - bizarrement exclusivement réservés aux fem­mes enceintes ou allaitantes - avec des contracep­tifs.
  • Des campagnes de stérilisation forcée et l'imposition de quotas a respecter en matière de ligature des trompes, de vasectomies, de pose de stérilets, d'implants abortifs (Norplant).
  • Des vaccinations avec des vaccins incluant systématiquement des agents contraceptifs et abortifs comme l'hormone hCG (chorionique gonadotrope responsable du maintien de la grossesse), l'antigène anti zone pellucide (qui détruit tous les ovules futurs chez la jeune fille vaccinée), l'antigène anti-sperme pour les garçons.
  • Des programmes de vaccination imposés sans possibilité de contrôler le contenu exact des vaccins ni de choisir un autre fournisseur que celui qui est imposé (OPS).
  • Des préservatifs comportant des micro-trous et qui facilitent ainsi la multiplication du SIDA et d'autres MST.
  • L'obligation d'importation de maïs américain Monsanto3 (ou d'autres énormes lobbys du grain comme Cargill, ADM, Dreyfuss, Bunge & Borne, Mitsui & Feruzzi) couvrant jusqu'à 30% du besoin national.
  • L'imposition de manuels et cours d'éducation sexuelle pour la perversion de la jeunesse dès l'école primaire.
  • La banalisation du "sexe" : la sexualité est rabaissée à du "sexe" et à du plaisir qu'il s'agit de maximiser ! Chacun a droit à une vie sexuelle satisfaisante ; et donc chacun est libre de choisir sa propre orientation sexuelle : hétérosexuelle, homosexuelle, lesbienne, bi-sexuelle, trans-sexuelle ou zoophile4, incestueuse, pédophile5, sado-masochiste, etc.
  • Des politiques de destruction de l'institution familiale : forcer la femme à travailler hors du foyer, pénaliser la famille plutôt que de l'aider.

Tous ces points aberrants sont contenus dans la Charte des droits sexuels et reproductifs6 visant les enfants et les adolescents et présentée a l'ONU par l'IPPF, héritier historique de l'eugénisme, soutenue par des ONG "féministes", "gay" et autres. De fait, cette "charte" se trouve imposée aux gouvernements des pays sous le nom de «lois de santé reproductive» avant toute discussion de pactes d'accords économiques, culturels, etc.

Si cet eugénisme a trouvé le moyen de se développer, c'est que ses promoteurs ont trouvé des oreilles attentives dans l'État fédéral américain et à l'ONU, et aussi des finances abondantes. Ces politiques sont conduites avec peu de subtilité, c'est-à-dire avec une grande brutalité, dans les pays en voie de développement : les gens y sont moins bien informés, ils manquent d'argent et n'ont pas les moyens d'attaquer en justice ceux qui les agressent, c'est-à-dire les grands lobbys pharmaceutiques ou agro-alimentaires, les grands organismes privés ou publics, les institutions financières internationales.

Parmi les plus connus l'USAID et le FNUAP qui dépendent respectivement des États-Unis et des Nations Unies, l'IPPF ou Planning familial, le World Food Program, la Banque Mondiale, le FMI, l'USDA (ministère de l'agriculture des USA), l'OMC (organisation mondiale du commerce), l'OMS, l'UNICEF, le MSI (Marie Stopes International) qui sévit actuellement en Afghanistan. Ces organisations préparent les textes de loi pour les gouvernements afin d'imposer leurs mesures d'élimination de la population locale et de mettre la main sur les richesses minières et autres du pays7.

Une jeune mère chinoise regarde son enfant devant l'inscription "le contrôle des naissances est une politique de base de notre pays"

Récemment le FNUAP a défrayé la chronique en Tanzanie où le gouvernement local a refusé un cargo du FNUAP qui livrait 10 millions de préservatifs, pour cause de micro-pores dans la membrane de latex de ces "capotes". Ils ont donc détruit la cargaison d'une valeur marchande de 900 000 $US. Ce qui est exceptionnel dans cette affaire ce n'est pas la mauvaise qualité de la marchandise, c'est le fait qu'il y ait eu un contrôle !

Des vérités cachées

Dans les pays occidentaux développés, également, comme en France, les médias appliquent les grands principes maçonnique : "Faites des coeurs vicieux et vous récupérerez des cadavres de jeunes chrétiens", "corrompez, corrompez, faites qu'ils respirent le vice par les cinq sens", "mentez et changez le sens des mots, ils finiront par penser et se comporter comme vous le voulez sans même s'en rendre compte." jetant la jeunesse et l'enfance sans défense dans la perversion la baptisant du nom de «sexualité protégée» (safe sex). C'est une fiction, car on oublie de citer les fameux micro-trous du préservatif. Plusieurs médecins, en France, ont fait des travaux sur ce sujet et quelques livres ont été écrits, notamment par feu le Pr Lestradet. Beaucoup d'autres scientifiques ont écrit sur le mensonge du préservatif et l'on observe qu'il pousse les jeunes vers une activité sexuelle au mépris des lois de Dieu, et que, dans tous les pays où passe le préservatif, le nombre de malades du SIDA croît de manière exponentielle. Comment ? Parce que tous les préservatifs ont des micro-trous qui font de 5 à 10 microns de diamètre ; or la tête d'un spermatozoïde fait 7 microns, à peine plus gros que les trous. Les tests que font les fabricants de préservatifs consistent à faire passer des ions électriques, ce qui ne permet de détecter que des micro-trous d'au moins 10 microns.

Or le virus du SIDA, le VIH, est 500 fois plus petit que la tête d'un spermatozoïde. Comment le préservatif pourrait-il donc «protéger» ? Plus grave : les préservatifs vendus en Afrique ou en Amérique Latine sont de tellement mauvaise qualité qu'ils sont interdits à la vente aux États-Unis. Parce qu'aux États-Unis, si un produit provoque un problème, le client peut attaquer le fabricant en justice et ce dernier va perdre le procès.

L'impérialisme abortiste

Par contre, dans le Tiers Monde, les gens meurent avant de dénoncer les abus dont ils sont victimes. Par exemple, lors des campagnes systématiques de stérilisations forcées qui ont eu lieu dans tous les pays pauvres (Afrique, Asie, Amérique Latine, du Mexique au Chili et à l'Argentine) après un accouchement dans les hôpitaux civils, si un médecin n'arrive pas à convaincre une femme de se faire stériliser, il lui met en place un ou deux stérilets à son insu. Ils pratiquent jusqu'à 30% de césariennes, parce que cela leur permet de pratiquer une ligature des trompes. Dans les «maquiladoras» ou usines en zone franche dans les pays pauvres d'Asie ou du Guatémala, qui fabriquent des vêtements, des jeans, des composants d'ordinateurs, des chaussures, etc. pour Nike, Adidas, Nestlé, Levis, et des multinationales sans scrupule, la condition d'embauche est d'avoir les trompes ligaturées ; ou bien des médecins passent sous prétexte de faire gratuitement aux jeunes ouvrières un pap-test et en profitent pour leur mettre un sterilet. En Équateur dans des ateliers de textiles et de confection, les médecins passaient auprès de chaque machine a coudre où travaillaient des femmes et leur injectaient du dépo-provera («contraceptif» abortif a effet trimestriel) en leur disant qu'il s'agissait de vitamines. Les forces armées US ont agi de même après le 11 septembre en Amérique Centrale où, pour remercier ces pays de leur collaboration dans la lutte contre le "terrorisme", ils ont gentiment creusé des puits dans lesquels ils ont placé des produits contraceptifs à long terme !

Il y a une pression terrible sur les femmes de la campagne qui représentent 90% dans certains pays. Au Pérou, au Guatemala, 90 à 95% de gens ne savent ni lire ni écrire, et donc, pour eux, le médecin est une autorité respectable. Ces derniers exercent des pressions continues sur les femmes dans tous les "Centres de Santé", je l'ai souvent constaté. On forme les médecins et les infirmières sur la façon de convaincre les femmes de se faire stériliser en leur disant: "si vous n'acceptez pas qu'on vous le fasse, vous n'aurez pas droit au service d'assistance... ni à l'aide alimentaire... lors de l'accouchement suivant."

En Europe, on retrouve la même tendance, plus discrète et visant surtout les femmes issues de l'immigration qui n'auront peut-être pas les moyens de se défendre. J'ai ainsi rencontré de nombreuses femmes françaises ou maghrébines enceintes qui ont subies des pressions continuelles extrêmement agressives pour se faire ligaturer les trompes et qui se sont rendues compte comme Mme X, d'origine maghrébine, mère de 3 enfants, vivant a Paris, que le médecin français (une femme), après lui avoir imposé une césarienne non nécessaire, l'avait stérilisée contre sa volonté et celle de son époux. De plus cette femme gynécologue l'avait poussée pendant toute la grossesse d'une manière extrêmement grossière à tuer ce bébé. Et tout cela dans des établissements réputés de la région parisienne !

Il est indispensable d'aider ces gens à monter des procès, de façon à poursuivre les médecins et les commanditaires de cette idéologie.

Dans le Tiers Monde, c'est systématique et les femmes qui ont subi une ligature des trompes contre leur volonté ne savent ensuite pas pourquoi elles n'ont plus d'enfants, et elles ne s'en préoccupent pas tout de suite.

Un ou deux ans après, elles s'en inquiètent et on leur répond : "on ne sait pas ; c'est peut-être un problème lié à l'alimentation, une contamination..." et puis, très souvent, je peux en témoigner car je l'ai constaté dans mon ministère de prêtre, une femme a de très fortes douleurs au bas-ventre et des pertes de sang, elle va chez le médecin :

"-Depuis quand vous l'avez ?
- J'ai quoi?
- Eh bien, votre stérilet...
- Quoi?
- Vous avez un stérilet dans votre utérus...
- Et qui me l'a mis ?
- Je ne sais pas, mais il y est."

Et l'on découvre que c'est toujours quand la femme a été dans les "Centres de Sécurité Sociale", dans des hôpitaux publics ou dans des organismes équivalents, qu'on lui a posé un stérilet.

Les pays qui ont affaire à ces organisations ont des quotas à respecter, pour pouvoir continuer à recevoir des prêts. Par exemple, le Mexique a moins de 100 millions d'habitants. Il n'arrive pas à dépasser ce chiffre. Comptez que, sur 100 millions d'habitants, nous avons 50 millions de femmes, Enlevez les femmes qui ont moins de 12 ans et celles qui ont plus de 48 ans qui ne sont plus fécondes, on arrive à moins de 30 millions de femmes. Là-dessus, le Mexique a un quota annuel de 500 000 ligatures des trompes ou vasectomies et de 300 000 poses de stérilets. Cela nous fait arriver à 800 000 personnes - arrondissons à 1 million, car il y a d'autres techniques qui sont également pratiquées. On demande donc aux médecins de pratiquer 1 million de ce genre d'interventions par an, et ils sont surveillés par ce qu'on appelle des "contrôleurs". J'ai un ami médecin au Salvador, qui était contrôleur du Gouvernement comme gynécologue, pour le compte de l'IPPF, puis qui s'est converti. Ils s'est alors dit : "ou je suis catholique, ou je ne le suis pas". Il a donné sa démission : "Je ne peux pas continuer : ce sont des choses qui sont contre Dieu."

Lorsqu'on cherche, on trouve beaucoup de textes de lois, de décrets, qui ont été signés entre présidents de la République - je pense nommément au président Portillo du Guatémala, je connais le problème parce que j'en reviens, et à d'autres pays. Ce sont des textes qui ont à peine été publiés, un jour, au Journal Officiel, personne ne les voit passer. Ce sont des accords entre le gouvernement - par exemple du Guatemala, ou du Salvador, et l'État fédéral allemand, ou finlandais, ou suisse, etc. Par exemple l'État allemand, au travers d'un organisme très puissant qui s'appelle le GTZ8, s'occupe en fait uniquement de stériliser les femmes. Dans ce genre d'accords (4 juillet 2001), l'État allemand s'engage à envoyer des techniciens et des moyens techniques dans le but de contribuer à "l'égalité des sexes", en Anglais "gender equity", "equita in genero" en Espagnol. C'est une expression un peu technique, qui signifie en pratique promotion de la contraception et de l'immoralité parmi les jeunes, par tous les moyens. Dans le même temps, le document stipule que le gouvernement local (équatorien, ou guatémaltèque...), s'interdit toute poursuite en justice des experts allemands envoyés sur place, quels que soient leurs actes. C'est à dire que ces gens-là, selon l'accord, ne pourront pas être arrêtés ni être condamnés en justice, même s'ils violent les femmes en question, s'ils les stérilisent et même si les femmes s'en rendent compte et les accusent, le texte précise en toutes lettres : "le gouvernement s'engage à ne pas poursuivre le GTZ, ni les techniciens allemands". Cela donne l'idée de la brutalité de l'accord.

Le "vaccin" anti-grossesse

Utiliser des vaccins comme contaminants ou comme vecteur d'un effet secondaire programmé est une possibilité, très attractive pour les contrôleurs de population eugénistes et les grands laboratoires pharmaceutiques car les campagnes de vaccination touchent des millions de personnes sans méfiance et peuvent rapporter des millions de dollars.

C'est l'objet d'un des "paquets" que la Banque Mondiale oblige les pays du Tiers Monde à accepter : le paquet des vaccinations et surtout des vaccinations stérilisantes et abortives.

Cette affaire-là est sérieusement et massivement documentée. Pour de très nombreux vaccins, la Banque Mondiale, ainsi que l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) obligent les ministères de la santé des pays pauvres à vacciner leur population et à acheter leurs vaccins exclusivement auprès de l'OPS pour l'Amérique Latine - Organisation Panaméricaine de Santé, qui est le nom à peine camouflé de l'OMS. Le contrat stipule que les gouvernements n'ont pas le droit de faire analyser ces vaccins. S'ils veulent cependant effectuer un contrôle, ils ne peuvent le faire qu'auprès de trois laboratoires qui dépendent exclusivement de la Banque Mondiale. Chaque fois que nous avons fait analyser de manière indépendante ces vaccins prélevés là-bas, (Argentine, Nicaragua, Philippines, Mexique, etc) - entre autres les vaccins antitétanique, antidiphtérique, antivariolique, et plus récemment le BCG et le vaccin contre l'hépatite B - nous avons constaté que ces vaccins-là contiennent systématiquement la fameuse hormone hCG ou chorionique-gonadotrope. Le contrat imposé par le FNUAP et l'USAID prévoit que les gouvernements doivent vacciner toutes les femmes enceintes 2 à 3 fois durant leur grossesse - en France c'est interdit - ainsi que les petites filles, (et pas les petits garçons !) On s'est rendu compte que ce vaccin contenait dans 4 cas sur 5 l'hormone chorionique-gonadotrope synthétique.

C'est une hormone que l'enfant, quelques heures après sa conception, envoie à sa maman, pour se faire reconnaître et ne pas se faire détruire par le système immunitaire maternel ; lorsque le corps de la mère la détecte, il comprend que ce n'est pas un corps étranger à éliminer ou à phagocyter mais que c'est un bébé, et il bloque donc son système immunitaire pour implanter l'embryon dans l'utérus. Les "birth-controllers" mettent cette hormone hCG, légèrement modifiée, dans les vaccins et, en vaccinant ainsi la mère enceinte, on fait que la mère produit des anticorps anti-hCG qui passent dans l'enfant ; or l'enfant dans le sein de sa mère n'a pas de système immunitaire fonctionnant à ce moment-là. Quand la petite fille naît, on la vaccine avec le vaccin antitétanique 6 fois dans la première année de sa vie, puis les médecins passent de nouveau dans les écoles, en utilisant l'arme de la peur et de l'ignorance, après les premières règles et revaccinent toutes les jeunes filles et jamais les garçons. C'est effrayant. Lorsque la jeune fille va se marier, elle va concevoir un enfant qui va lui envoyer cette même hormone hCG, pour lui dire: "Maman, je suis là!" - mais au lieu de reconnaître cette hormone comme signe de la présence du bébé, le système immunitaire de la mère va l'identifier comme un agresseur ; elle va envoyer des anticorps pour détruire cette molécule, c'est à dire qu'elle va couper le contact vital entre l'enfant - âme immortelle - et sa mère. Cela s'appelle un crime (avortement provoqué).

J'ai fait des recherches sur cette affaire dans l'intranet médical réservé aux chercheurs en milieu universitaire avec le docteur B., embryologue dans une grande Faculté de Médecine française.

Nous avons trouvé un programme de recherche fait en Inde, financé par de grands laboratoires pharmaceutiques internationaux, par le Population Council, la Rockefeller Foundation et l'International Development Research Center of Canada, qui dure depuis 33 ans, d'un certain G.P. Talwar, en Inde, à l'Institut National d'Immunologie de New Delhi, qui a fait des études uniquement sur comment mettre dans les vaccins l'hormone hCG tout en évitant un effet "cross-linked" avec les hormones FSH, LH et TSH qui ont la même sub-unité Beta que la hCG. Pendant 29 ans, de 1974 à 2003, il a "pondu" jusqu'à 50 articles par an. Il a effectué un travail énorme sur un seul sujet : comment pouvons-nous utiliser les vaccins classiques pour obtenir des effets abortifs et ainsi éliminer des peuples entiers à leur insu.

Cette affaire est documentée par des documents très sérieux qui sont publiés sur le site Internet de l'OMS9 et par des publications scientifiques prestigieuses10. Les promoteurs ne cachent pas ces documents, mais savent très bien que leur caractère technique et le manque de liberté de la corporation journalistique ne leur fait pas courir un gros risque. Cela n'empêche pas l'OMS de nier l'utilisation de ces produits à l'insu des populations, malgré les preuves accumulées. Qui pourrait encore les croire ? Toujours est-il que le vocable "vaccin anti-grossesse" a été remplacé par le terme plus inodore de "immunocontraception". De gros moyens financiers sont consacrés à développer des techniques encore plus diversifiées que le rejet de l'hormone hCG.

Le SIDA comme outil de contrôle des populations

Il y a une forte polémique sur l'origine du SIDA : on soupçonne que le virus du SIDA ait été créé de toutes pièces par la CIA et les services de l'armée américaine dans le cadre de la guerre biologique dans le laboratoire de ultra haute sécurité P4 de Fort Detrick, Maryland, USA, fondé en 1977. Le président Nixon avait déjà débloqué à la demande du Pentagone 10 millions de dollars en 1969 pour produire des virus cancerigènes et un virus capable de détruire le système immunitaire humain en peu de temps, virus expérimentés en 1977 sur les prisonniers condamnés à mort ou à la prison à vie en échange d'une promesse de liberté en cas de survie. On se souvient de la campagne massive de vaccinations contre l'hépatite B pratiquée sur les minorités «gay» de New York... suivie peu de temps après par l'explosion du SIDA dans ces mêmes groupes. Cela expliquerait aussi l'apparition des premiers cas de SIDA en 1979 chez ces mêmes prisonniers homosexuels, libérés comme promis, dans les «communauté gaies» de New York11.

Il y a aujourd'hui une autre hypothèse selon lesquelles le virus du SIDA serait le résultat de contaminations accidentelles par un virus SIV des singes verts de vaccins contre la poliomyélite fabriqués pour le compte des laboratoires Wistar de Philadelphie en 1957-59 et administrés par l'équipe du professeur Hilary Koprowski a 1,5 million d'enfants au Congo et au Burundi (bizarrement la Wistar est un des partenaires de Fort Detrick dans la fabrication et tests des virus à des fins militaires). Edward Hooper dans son livre The River relève que les régions du Congo où l'on a administré en masse ce vaccin oral contre la polio dans les années 50 sont précisément les régions où l'on a découvert les premiers cas de SIDA.12 La contamination de certains vaccins par des virus (le SV4013 ou l'hépatite) avait déjà été prouvée.

D'autres faits14 sont volontairement occultés aux jeunes par les gouvernements et les laboratoires pharmaceutiques. Par exemple le virus VIH du SIDA est plus présent dans la salive humaine que dans les liquides génitaux et dans le sang, et donc la transmission par voie salivaire existe - le fameux baiser «à la française» avec échange de salive, où l'on retrouve du sang de l'autre dans la salive de 95% des personnes après ce genre de baiser. Or les leucocytes ou globules blancs infectés passent dans la cavité buccale au rythme de 1 million par minute, et jusqu'à 10 millions par minute. Vu que les sidéens et les femmes utilisant la pilule contraceptive ont très souvent des infections gingivales, abcès et ulcères dans la bouche, le passage des virus infectieux dans le flux sanguin est très facile. Quant à la prétendue brièveté de vie du virus hors du corps humain, il suffit de citer l'étude de l'Institut Pasteur - Unité d'oncologie virale - publiée en septembre 1985 par le journal The Lancet démontrant que ce virus «fragile» est toujours infectieux après 15 jours à température ambiante.

Il y a aussi une transmission par les moustiques et autres insectes piqueurs. 90 virus ou rétrovirus transmis par les insectes infectent l'être humain. On a identifié après une étude de plus de 5000 insectes capturés en Centre-Afrique la présence de séquences proches du VIH-1 dans l'ADN d'insectes de nombreuses espèces. (Laboratoire de virologie moléculaire - Université de Paris, et Institut Pasteur 1990).

En pratique, quelle que soit véritablement l'origine du SIDA, on peut observer (voir graphique) que près de trois quarts des personnes infectées par le SIDA sont en Afrique subsaharienne15. Le deuxième foyer d'infection étant l'Asie du Sud et du Sud-Est. Fin 2001 on dénombrait en Chine communiste 850 000 personnes infectées, à cause, semble-t-il, de prises de sang effectuées sans hygiène.

Or l'Afrique est la cible prioritaire des eugénistes et la Chine est le terrain d'action d'une clique communiste qui veut faire diminuer la population. L'épidémie de SIDA est pour eux un malheur qui tombe fort opportunément.

Comment agir en France

Tout d'abord la justice est dans les mains de Dieu. Il agit et apportera la victoire, même si nos pays sont dans un triste état et refusent de changer de conduite. Nous devons vivre sous la grâce et rester persévérants dans la prière.

Ensuite il y a du travail auquel chaque Chrétien est appelé à participer : face à ce programme de génocide universel et de destruction des âmes immortelles diaboliquement organisé avec des millions de dollars à disposition il faut s'informer et faire connaître, utiliser les moyens de communication modernes que sont les forums et les emails, il faut souvent aussi convaincre le clergé de remplir son office en enseignant correctement, et nous pouvons aussi aider les victimes.

Une association comme La Trêve de Dieu a pour mission d'aider les victimes de l'eugénisme, notamment en les soutenant pour qu'elles puissent se porter parties civiles, afin qu'elles puissent obtenir réparation et que les commanditaires eugénistes cessent d'agir dans l'impunité et le silence.

Les adhérents et les sympathisants peuvent trouver ces victimes parmi leurs relations et leur transmettre ce genre de proposition.

© TDD


NOTES :

1. Jaffe, Frederick S. 1969. Activities relevant to the study of population policy for the U.S. Memo to Bernard Berelson, 11 mars 1969. In Elliott et al., 1970, et autres sources convergentes. Ces propositions furent exposées au congrès de Dacca en 1969.

2. On retrouve cette promotion dans le CEDAW (Convention pour l'élimination de toutes formes de discrimination contre la femme) et avec la Cour Pénale Internationale qui s'avère suivre une ligne pro-avortement.

3. Monsanto est également fabricant de produits abortifs et contraceptifs, de médicaments variés, du "Roundup" herbicide et de semences suicides car hybrides stériles, OGM ou non ; ce groupe est très influent auprès de la FDA aux USA.

4. Les animaux étant considérés comme de lointains cousins descendant des mêmes ancêtres.

5. Kinsey, auteur du célèbre mais frauduleux "rapport Kinsey" de 1947, était pédophile. Malgré l'affaire Dutroux la promotion de la pédophilie des années 60 n'a pas cessé. On trouve ainsi une forte insistance pour abaisser l'âge de majorité sexuelle à 10 ans.

6. "IPPF Charter On Sexual And Reproductive Rights" visible en http://www.unfpa.org/swp/1997/box8.htm. Ce document précise l'interpré­tation pro-avortement que fait l'IPPF des différents documents et conférences de l'ONU. On y découvre qu'ils se prétendent des défenseurs du droit à la vie, d'une part en omettant l'avortement comme violation de ce droit et d'autre part en militant pour un "accès à l'avortement" censé empêché des morts maternelles, le mensonge classique des pro-avortement !

7. Kissinger a rédigé en 1974 le rapport secret NSSM n°200 pour mettre en place cette politique. Ce rapport a été déclassifié fin 1980, il justifie une politique eugéniste sous prétexte de défendre les intérêts et la sécurité des USA face aux risques d'une prétendue "surpopulation" (voir sa traduction sur le site de Transvie.) Cette tendance cynique avait déjà un précédent : le rapport de Georges Kennan intitulé PPS/23: Review of Current Trends in U.S. Foreign Policy, publié en Foreign Relations of the United States, 1948, vol. 1, pp. 509-529 (v. http://www.geocities.com/rwvong/future/kennan/pps23.html)

8. Gesellschaft für Technische Zusammenarbeit, Société pour la Coopération Technique.

9. Cela fait partie d'un programme spécial de recherche grassement financé par : le PNUD, le FNUAP, l'OMS, la Banque Mondiale, la Rockefeller Fondation, la Ford Foundation, la Hewlett Packard Foundation (cf. HP), la Bill & Melinda Gates Foundation (cf. Microsoft), la John Mc Arthur Foundation, Ted Turner (ancien patron de la CNN) et le Population Council (voir http://www.who.int/reproductive-health/stag21/stag_report_2003.pdf et http://www.who.int/reproductive-health/management/atr_2003.pdf [2005 : On peut constater en http://www.who.int/reproductive-health/management/hrp_ppb.pdf que les "immuno-contraceptifs hCG" sont toujours au budget de l'OMS]).

10. Par exemple dans les Proceedings of the National Academy of Sciences, USA vol. 91, pp.8532-8536, August 1994, A vaccine that prevents pregancy in women, disponible sur : http://www.pnas.org/cgi/content/abstract/91/18/8532 Voir aussi http://www.gyneweb.fr/sources/congres/jta/94/repro6.htm (Le point sur les vaccins pour le contrôle de la fertilité, Dominique Bellet, 1994) ; il existe même une publication spécifique, le "American Journal of Reproductive Immunology" !

11. Voir les très nombreux documents relatifs à cette polémique sur un moteur de recherche Internet avec les mots «AIDS origin Jacob Segal spread healing» et "Leonard G. Horowitz emerging viruses AIDS Ebola WHO Africa".

12. The River : A Journey to the Source of HIV and AIDS, Edward Hooper, 2000. [2005  La controverse est bien documentée en http://en.wikipedia.org/wiki/OPV_AIDS_hypothesis et http://www.aidsorigins.com"] ; elle permet de constater l'inertie des milieux dits scientifiques à des remises en causes intelligentes et documentées ; le maintien des réputations et des bonnes affaires prime le plus souvent sur l'honnèteté et la recherche de la vérité.

13. On a découvert a posteriori une contamination de lots de vaccins contre la polio utilisés entre 1957 et 1959 par le virus SV40 des singes (le «simian virus 40»). Les études à ce jour démontrent des complications de plus en plus nombreuses liée au SV40 et sa présence trés fréquente dans les tissus tumoraux prélevés chez les nouveaux-nés décédés de tumeur au cerveau de type médulloblastome - Cf. le livre «Le vaccin hepatite B en accusation ? Les coulisses d'un scandale» de Sylvie Simon, collection Résurgence. De 1938 à 1942, certains vaccins contre la fièvre jaune étaient aussi contaminés par le virus de l'hépatite B. Récemment au Japon on a découvert la présence de virus de la peste - made in USA - dans des vaccins anti varioliques.

14. Cf. AIDS Rage and Reality - Why silence is deadly, Gene Antonio, 1993, Anchor Books, USA

15. Le Figaro, Le sida ravage plus que jamais l'Afrique, Martine Perez, 3 juillet 2002.

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