How to implement it ? Comment la rendre active ?

mercredi 23 juin 2010

‘Fuites’ de pétrole dans le Golfe de Mexique. Les faits, les solutions non-nucléaires.

Vous vous posez des questions au sujet de ce qui se passe actuellement dans le Golfe de Mexique, près des côtes américaines ?

Vous n'êtes pas les seuls.

Nous avons enquêté.


... Il s'agit de la 'fuites' de pétrole dans le Golfe de Mexique. Ce n'est pas une fuite, c'est un désastre. Selon le Pasteur Lindsey Williams des Etats Unis (cf. vidéo DailyMotion référencée en fin d'article) qui a interviewé plusieurs sources à l'intérieur de BP, exploitant de la plateforme qui a chaviré dans le Golfe de Mexique, il s'agit là d'un puits de forage à très grande profondeur. Déjà les Russes avaient commencé leur programme de forage SG3 à partir de 1970, creusant à quelques 12.000 m de profondeur, mais sur terre. Aujourd'hui ils exploitent quelques 310 puits de pétrole de ce type, et depuis 2009 la firme IOUKOS russe a dépassé la production de l'Arabie Saoudite, devenant ainsi le plus grand fournisseur de pétrole du monde. Il s'agit d'un pétrole 'abiotique', c'est-à-dire qui ne provient pas du domaine biologique, mais qui est le résultat d'un processus chimique se produisant à l'intérieur de la terre, avec des réserves quasiment illimitées, les réserves d'Arabie Saoudite, d'Afrique et du Mexique étant 'alimentées' par cette strate très profonde de pétrole de forme similaire à un énorme batholite, en réalité une sorte d'immense mer souterraine similaire à la nappe phréatique. Les Russes étaient assez prudents pour entreprendre ces forages sur terre, en non pas en mer comme l'a récemment fait le groupe pétrolier BP au Golfe de Mexique où les conditions de sécurité sont beaucoup plus difficiles face aux pressions rencontrées dans ces réserves très profondes. La plateforme BP coulée dans le Golfe de Mexique se trouvait en mer profonde de 1600 m, et le forage au-dessous était de 10.000 m ! Les forages de pétrole rencontrent normalement des pressions autour de 100 bar. Mais ici, au Golfe de Mexique, on parle – mais ce sont des chiffres jamais publiés jusqu'aujourd'hui – de pressions variant entre 1400 bar à 4800 bar. Par comparaison les pneus des voitures ont une pression de 2,4 bar, les camions 6,9 bar… Aucune valve de sûreté résiste à de telles pressions, et c'est exactement ce qui s'est passé dans le Golfe de Mexique. Elle a lâché, et une explosion s'est produite qui a soufflé tout l'appareillage BP sous-marin, incendié la plateforme sur mer et finalement fait chavirer toute l'installation. Selon des informations intérieures, BP avait remarqué le dysfonctionnement de la valve de sûreté, mais n'aurait pas arrêté l'exploitation sous le prétexte : « on n'a pas le temps, on continue ! ». Ensuite c'était l'incendie, l'explosion et l'échappement sous-marin du pétrole. Au début on parlait de quelques centaines de milliers de litres par jour, aujourd'hui nous sommes à 14 millions de litres par jour (également dissimulés) ! En plus, le pipeline sous-marin – sous cette pression énorme libérée par la valve de sûreté explosée – est fissuré à plusieurs endroits, approchant les fuites de pétrole jusque 12 km seulement de la côté américaine, selon la NOA (National Oceanic and Athmospheric Administration).

Maintenant la EPA américaine (Environmental Protection Agency) commence à parler de gaz qui s'échappent en même temps avec le pétrole, et que leur impact pourrait être plus désastreux encore que ceux du pétrole. Il s'agit des gaz hautement toxiques Sulfure d'hydrogène (taux admis : 8 ppb = parts per billion = particules par milliard ; taux mesuré : 1200 ppb), de benzène (taux admis : 4 ppb ; taux mesuré : 3000 ppb), et de chlorure de méthylène (taux admis : 61 ppb ; taux mesuré : 3000 à 3400 ppb). Ces gaz peuvent causer la mort des hommes par toute sorte de dommages, notamment sanguins et cardiaques, et la déformation des bébés avant naissance. En plus, le dernier gaz (chlorure de méthylène) est inflammable… Ces nuages vont actuellement vers la Louisiane, le Mississipi etc., sans que personne ne prévienne la population, ni le président Obama, ni aucun gouverneur ou député ou maire. Le moindre ouragan pourra amener désormais un désastre majeur en transportant ces nuages de gaz massivement vers les côtes, et même jusqu'à la côte est des Etats Unis. Le pire, c'est qu'on discute maintenant chez BP, comme ultime solution, d'une explosion nucléaire pour fermer la source de moins en moins contrôlable par tout autre moyen. La puissance nucléaire pourrait parfaitement boucher le canal de pétrole, dans le meilleur des cas, mais il pourrait aussi ouvrir un cratère énorme reliant directement ce batholite de pétrole à la mer du Golfe, avec des conséquences incalculables… Bien sûr, nous avons vérifié la source de ces informations, le Révérend Lindsey Williams, et elle nous a paru fiable. Il est depuis 25 ans aumônier auprès des milieux du pétrole, notamment ceux du Canada, et dispose d'excellents informateurs dans ce milieu. Ses livres – souvent prophétiques - sont sérieux et n'ont pas été contredits par la réalité des faits. Il fallait donc que nous vous parlions de ces choses-là, en attendant avec inquiétude la suite. Dieu a dit à Noé qu'il ne ferait pas périr le monde par l'eau, mais Il pourrait parfaitement permettre que le monde se détruise par lui-même, par la bêtise, sinon la cupidité et l'orgueil des hommes.

(Cf : http://www.dailymotion.com/video/xdnq3n_partie-1-lindsey-williams-explicati_news#from=embed?start=2  ).


SOLUTIONS:


Le nucléaire n'est pas une solution. Le mal serait infiniment pire et la brèche terrible.


Systèmes de récupération et de blocages des puits de pétrole sous-marins deepwater.

 Systèmes de récupération et de blocages des puits de pétrole sous-marins.

Les militaires sont capables de parachuter des tanks.

Nous utilisons de tels parachutes dans une première phase, vu l'urgence dramatique. Ils sont lâchés au-dessus des puits, dans l'air. Une fois arrivés ouverts à la surface de la mer, ils restent déployés à quelques mètres sous l'eau et les troux somitaux sont équipés de tuyaux à plusieurs couches en tissu du type Goretex, par rivetage en première phase  d'urgence puis amené par des sous-marins au-dessus des puits en fuite.

Les parachutes sont amenés ouverts dans l'eau et fixés au fond de la mer ( blocs de bétons au sol ou ancres avec des poulies ou anneaux ) au-dessus ou à côté des puits en fuite. Les flux de pétrole sont récupérés en réglant la pente des parachutes, par des boudins plus ou moins remplis d'air préfixé aux parachutes. Un pan des parachutes peut même reposer au fond afin de récolter 100 % de la pollution.

Les tuyaux sont à plusieurs couches de tissus, rendus rigides par des corsets annulaires et verticaux de tuyaux remplis d'air en fonction des besoins de rigidité.

Le goretex des tuyaux et des parachutes sera calibré en fonction des molécules de méthane, éthane, propane ou butanes et des grosses molécules du pétrole, afin de laisser échapper les gaz mais de conserver les toxiques et le pétrole,  puis par velcro dans une 2ème phase.

Nous les améliorons ainsi.

Vu la haute pression des gaz, ces nouveaux parachutes sont fabriqués en kevlar et goretex, avec des armatures en fibre de carbone et des boudins pouvant être remplis d'air. Les charges d'air sont déjà là, prêtes à être déclenchées. Le trou somital en est aussi équipé et est renforcé de velcro, ainsi que les tuyaux de fuite.

On peut superposer plusieurs parachutes les uns sur les autres afin de récolter toutes les fuites, comme une cascade à l'envers. Des échancrures ouvrables à distance, notamment par boudins d'air télécommandées sur des liaisons velcro, sont faites sur les côtés des parachutes pour maximiser la récolte.

Le pétrole peut être aspiré pour accélérer le processus.

Les tuyaux sont à plusieurs couches et peuvent être ouverts ou fermés tout du long comme des rideaux à plusieurs segments, horizontaux ou verticaux, afin de régler le débit et la pression interne des gaz et la fluidité du débit. La pression n'est un problème vu que le système est ouvert par en bas.

Les différents gaz hautement toxiques sont triés par les tuyaux en poupées russes verticaux, par les dimensions des trous gore-tex de chque couche. Sulfure d'hydrogène (taux admis : 8 ppb = parts per billion = particules par milliard ; taux mesuré : 1200 ppb), de benzène (taux admis : 4 ppb ; taux mesuré : 3000 ppb), et de chlorure de méthylène (taux admis : 61 ppb ; taux mesuré : 3000 à 3400 ppb). Ces gaz peuvent causer la mort des hommes par toute sorte de dommages, notamment sanguins et cardiaques, et la déformation des bébés avant naissance. En plus, le dernier gaz (chlorure de méthylène) est inflammable…donc récolte sous l'eau et neutralisation sous l'eau, à définir avec les chimistes.

En cas de typhon, tout est récolté dans de grands conteneurs sous-marins à quelques mètres sous l'eau qui seront vidés dès que le temps le permettra.

Blocage des puits, technique du judoka, utilisation de la pression pour la contrôler.

Un train de segments étanches flexibles dirigés par des cardans panthographes ouverts à de multiples directions d'alignement est enfilé dans le tuyau de base du puit. La pression montante alignera le dispositif automatiquement sur le flux montant.
La pression aligne en effet ce train rendu souple et dirigeable dans l'axe par le système directionel supérieur.
Dès le premier segment, tout le train est équipé en son centre d'une tige lègèrement conique commandable à distance par un axe hydraulique pas à pas à cliquet.

La tige centrale conique  commandée à distance exerce une pression de bas en haut et fait monter et s'écarter le train de tuyaux à la profondeur voulue pour avoir le maximum de résistance.. Ce tuyau faits de parois malléables mais résistantes ( plomb durci ) et/ou en acier-inox fendu pour un segment central va donc se plaquer fortement contre l'autre tuyau extérieur déjà en place.

Sur cette tige conique de plus en plus large de bas en haut, est disposé en plus une vis hélice écartable de type Archimède sans fin, qui, au début, est bloquée, puis, dès que désiré et par télécommande, est libérée et, sous l'effet de la pression, va monter  en s'écartant le long de l'axe conique à cliquet. Les parois malléables mais résistantes ou en acier-inox fendu seront ainsi définitivement bloquées et étanches. Les pressions extrêmes demandent des métaux extrêmes.


Une vanne ouverte connectable au tuyau de récupération fait partie du haut de ce train de segments. Elle pourra permettre de régler plus finement le débit du puit ainsi récupéré.

Un réglage encore plus fin peut-être effectué par la tige centrale conique commandée à distance.

Si le tuyau est horizontal, on y rajoute des roulements à billes sur le pourtour au premier segment et des rouleaux fixes sur le sol, à l'entrée pour faciliter l'introduction horizontale .

Copyright: suisse-plus.com, Lausanne Suisse.
Patent pending
Patented.


USA (ru, 23 juin 2010) : Nos nouvelles RU ne sont pas là pour faire peur à qui que ce soit, mais quand il y a des réalités graves qui sont volontairement obscurcies par les pouvoirs secrets, s'il n'y a pas les Chrétiens pour crier haut et fort ces vérités, qui les dira ? C'est la vérité qui nous libérera. Sans elle, aucune action humaine n'a de fondement sûr.


Riki Ott confirme certains propos de Lindsey Williams. Les gens commencent déjà à être malades.


http://www.dailymotion.com/video/xdqs98_maree-noire-golfe-du-mexique-bp-...


"BP NOUVELLES REVELATIONS ACCABLANTES
C'est un document interne au groupe BP rendu public ce dimanche qui a mis le feu aux poudres. Il révèle que la quantité de pétrole qui s'échappe du puits endommagé dans le golfe du Mexique pourrait en définitive atteindre 100 000 barils par jour.


!! Marée Noire Golfe Du Mexique : BP Cache Les Preuves !!

Riki Ott confirme certains propos de Lindsey Williams (voir http://www.dailymotion.com/video/xdnq3n_partie-1-lindsey-williams-explicati_news).
Les travailleurs, surfers et plongeurs réguliers commencent déjà à être malades.

Il faut se dire que les produits chimiques sont encore assez éloignés des côtes mais que les gens commencent déjà à être malades ça fait peur...

Elle confirme également le fait que BP est engagé dans une opération massive pour dissimuler toute information ou toute image qui pourrait avérer l'étendue de la catastrophe... c'est peu dire !

FAITES TOURNER L'INFO ! MERCI !


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