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mercredi 20 octobre 2010

Cyberguerres totales, stuxnet

 

La catastrophe du golfe du Mexique, collatérale de Stuxnet ?

 

La catastrophe du golfe du Mexique n'est-elle pas due à ce virus ?

 

Voici une guerre invisible, aux conséquences désastreuses et bien réelles, pouvant même aller jusqu'à une explosion nucléaire !

 

Des guerres cybernétiques totales.

 

Symantec, société spécialisée dans la protection informatique, écrit dans son 15e rapport annuel qu'elle a répertorié plus de 240 millions (sic) nouveaux programmes méchants rien que cette année.

Ils sont passés à des campagnes d'espionnage, de chantage et de destructions très rusées qui visent les plus importantes sociétés mondiales.

« (…) Ces attaques constituent un problème d'envergure internationale qui requiert la coopération du secteur privé et des gouvernements du monde entier», déclare StephenTrilling, vice-président d'Internet Security Technology, co signataire du rapport.

 

Exemple de Stuxnet :

http://www.symantec.com/content/en/us/enterprise/media/security_response/whitepapers/w32_stuxnet_dossier.pdf

 

Stuxnet, qui se reproduit et se diffuse spontanément, vise à reprogrammer, puis à prendre le contrôle des systèmes de régulation de ces installations, pour les saboter (PLATFORME PéTROLIèRE, centrale nucléaire, barrage, CHUV, raffinerie, système de contrôle aérien, élections, votations ).

 

La cyber-guerre contre l'Iran continue. Aucune solution n'a apparemment été trouvée pour l'enrayer. Les tentatives pour contrer le virus n'ont fait que le renforcer.

L'agence d'information iranienne, a publié le 27 septembre ce texte:  

«Nous surveillons et contrôlons le développement du virus. Nous avions prévu de l'éliminer en deux mois, mais il n'est pas stable, et au moins trois nouvelles versions sont apparues depuis que nous avons commencé les opérations de nettoyage».

 

Il y aurait plus de 30.000 ordinateurs infectés en Iran. Le virus attaque les systèmes Siemens qui contrôlent des oléoducs, des centrales électriques et nucléaires notamment. On se pose aussi la question si la catastrophe du golfe du Mexique n'est pas due à ce virus en mutation ?

Le virus a déjà modifié le fonctionnement de nombreuses installations et peut même provoquer leur destruction !

On n'arrive plus à maîtriser vraiment et à coup sûr ces virus mutants qui se tapissent dans l'ombre des claviers, des imprimantes, de périphériques divers, des couches et sous-couches multiples, des clés USB, des BIOS, des prom etc.

Des observateurs pensent qu'il n'a pu être créé que par une équipe militaire.

On sait qu'Israël ne cachait pas sa volonté de ralentir le programme nucléaire iranien…

Voici une guerre invisible, on passe sous silence cette guerre aux conséquences désastreuses et bien réelles, pouvant même aller jusqu'à une explosion nucléaire….

 

Indices probants :

 

La reine Esther frappe Aman, pardon, Ahma(n) dinejad, alias Ahmadinejad, par le biais d'un virus destructeur.

 

Israël a bien implanté Stuxnet dans les systèmes informatiques iraniens, afin de notamment paralyser centrifugeuses et autres centrales nucléaires.

 

STUXNET est programmé pour provoquer notamment l'autodestruction d'une fonction critique particulière, par exemple le déverrouillage de la vitesse de rotation des turbines, ou provoque aussi notamment l'arrêt du processus de lubrification ou encore le blocage de systèmes de vannes, tout ceci à un instant programmé pour provoquer le maximum de dégâts.

 

Dans ce programme, une ligne a notamment mis la puce à l'oreille des biblistes. Il s'agit de: c:\myrtus\src\objfre_w2k_x86\i386\guava.pdb

 

Voici une symbolique biblique dans le virus.

 

Selon le New York Times, on y retrouve le myrte , soit myrtus en latin, un terme présent dans l'Ancien Testament pour décrire la façon dont le peuple juif a déjoué un projet d'invasion des Perses.

http://topics.nytimes.com/top/reference/timestopics/subjects/c/computer_malware/stuxnet/index.html

 

Des chercheurs de Symantec y ont depuis découvert d'autres références, notamment à l'un des leaders de la communauté juive iranienne, Habib Elghanian, exécuté en 1979. La date de son exécution permettrait notamment d' agir sur ce virus.

 

Selon plusieurs spécialistes des attaques informatiques, le virus Stuxnet est le malware le plus sophistiqué jamais mis au point. Il vise majoritairement le réseau iranien avec 60% des infections.

 

Esther est appelée aussi Hadassa.

Le mot « סטוקסנט », en hébreu Stuxnet, ressemble à AKAMASOAD selon le clavier QWERTY.

Myrte se dit Hadass qui est concaténé dans AKAMASOAD. comme b:\myrtus\src\objfre_w2k_x86\i386\guava.pdb s'est infiltré dans Stuxnet.

Voici un rappel subtil et trinitaire des trois patriarches, vu la façon dont poussent les feuilles du myrte, d'un même point sortent trois feuilles et proviennent chacun d'une même source qui est l'image d' Hachém.

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Tetragrammaton_scripts.svg

 

Pour les juifs, ce nom — dont la vocalisation…n'est plus connue par eux — ne doit pas être prononcé. 


En revanche, les chrétiens (comme le chanoine Crampon) l'ont parfois transcrit dans les traductions par « Yahvé », « Yahweh » ou « Jehovah », en le prononçant. Cependant, depuis le début du xxie siècle, l'Église catholique préconise de remplacer "YHWH" par l'appellation « le Seigneur »5,6


Pour les Suisses burgondes grâce à st Materne, la pronociation est IEshOUA, IOA, en cercle.

 

http://www.de-siebenthal.com/site05.htm

La grande prière était dite par les armées suisses (Walser-burgondes) la nuit avant les batailles de défense, dès que 3 étoiles étaient visibles dans le ciel, femmes et hommes ensembles au combat. Ils ont sauvé plusieurs fois l'Europe de grandes invasions païennes.

Chaque unité avait son lecteur éclairé par des torches.





Tous, sauf les lecteurs et les luminaires, étaient debout pour les textes, à genoux pour les deux Notre Père et Ave Maria, couchés face aux étoiles aux 3 Notre-Père des parties impaires et couché face à terre pour la 2ème partie, celle du Christ en croix, et tous debout aux autres prières.


Chaque fois qu'il y a 5 prières, on chante I E O U A avec les 3 noms des 3 personnes la Trinité qui ont donné le chant du LIOBA ( IOA, I E sh O U A, Alleluia, Abba)  qui était chanté en final pour accepter la mort et obtenir le ciel, avec le Christus Vincit en latin tous en choeur à trois voix et cinq tonalités circulaires et répétitives I E O U A, la gorge qui s'ouvre cinq fois pour donner en insistant sur les 3 voyelles I O A en plus soit le 8 de l'infini au total. Le nom de Dieu n'est que les 5 voyelles avec le L de L' alleluia du St Esprit qui souffle comme il veut et donne la première vraie consonne.

Le Shin de l'humanité au milieu de IE sh OUA est à la fois voyelle et consonne...

Ste Anna et
St I E O U A Kim ( Joachim) étaient priés en secret pour accepter les blessures.( voici la raison des nombreux hôpitaux St Anne dans les alpes).


Chaque fois qu'il y a sept prières, on demande les sept dons du St Esprit.


Au nom Longin, le commandant embrasse la lance de Bourgogne, qui contient un clou de la croix et qui est le prototype de la lance du Légionnaire originaire la Gaule qui s'est converti en voyant le Christ mourir sur la Croix.
( cette lance est à Vienne, une copie au moins est à Cracovie)



Il fallait huit personnes en rond pour donner le ton à l'armée rangée en ordre de bataille dans la nuit, voix masculines ET féminines mélangées.



Les Burgondes étaient connus pour ne jamais violer les femmes, même à la guerre, ce qui est miraculeux...





L'héritage de St SigisMund



Tous les chrétiens ont reçu de par l'onction du baptême, complété par la chrismation ou confirmation, le sacerdoce baptismal qui les fait « prêtres, prophètes et rois ». En outre le sacrement de l'ordre donne à certains de ses membres un sacerdoce ministériel. Ces deux sacerdoces sont différents et complémentaires.
« Alors que le sacerdoce commun des fidèles se réalise dans le déploiement de la grâce baptismale, vie de foi, d'espérance et de charité, vie selon l'Esprit, le sacerdoce ministériel est au service du sacerdoce commun, il est relatif au déploiement de la grâce baptismale de tous les chrétiens ». (Instruction sur quelques questions concernant la collaboration des fidèles laïcs au ministère des prêtres, Libreria editrice vaticana, cité du Vatican 1997) .



Tous sont égaux en démocratie directe



ahabà (amour agape dans la première alliance) a a  a, 3 voyelles a plus h et b,

a, gorge grande ouverte, symbole divin, A, alpha, allah....

b, symbole du papa

aba ( papinou),

H, inspiration, expiration, vie, lettre donnée à Abraham et à Sarah...

abram, abra h am, sara, ...



Que ton Nom soit sanctifié, pour le sanctifier, il faut le chanter...
nous savons maintenant que son nom est compris dans le L io b a suisse, qui est en fait la prière de l'aube à Dieu, IOA, qui a donné l'aube, LIOBA, est ce fameux chant attirait les vaches vers le père de famille chaque matin.



I E O U A,
que des voyelles de la bouche qui s'ouvre toujours plus en un souffle et qu'un nouveau né peut dire.
soit articulé en manière trinitaire

I O A

le Père,

I E sh O U A   le Fils, avec sh, le shin qui signifie l'humanité en Dieu et

A ll E U I A le St Esprit, avec 2 L, car il souffle comme il veut



Malachie, fin de la première alliance, finit en disant:
Il ramènera le coeur des pères à leurs enfants, Et le coeur des
enfants à leurs pères, De peur que je ne vienne frapper le pays
d'interdit.
et la nouvelle alliance commence par une généalogie de pères et de fils...
Le monde moderne fait exactement le contraire, il tue les lignées, les mariages, l'amour...
Choisi la Vie, ou la mort...
De peur que je ne vienne frapper le pays d'interdit




Et le nouveau Testament commence justement par le récit d'une lignée...



I E shO U A, (Matthieu 24.36)
I E O U A Shalaom….
I E shO U A Shalaom
A ll E l UIA Shalaom
I O A




SI QUA FATA SINANT ( devise de la Cathédrale de Lausanne, dédiée à sauver les embryons, oculos humeris, dans le vitrail de la rose, à 3 heures...)


Cette simplicité, c'est l'Abbé Bovet lui même qui en parle le mieux lorsqu'il évoque sa Suisse natale : « Mon Pays que j'ai servi à ma manière, de tout mon coeur, en le célébrant par mes chansons. Mon Pays que je continue à chanter jusqu'au dernier souffle de ma vie. Car il est vrai de dire que ce peuple, je l'ai aimé et je l'aime profondément. Mon but, en écrivant des chansons pour lui, a été de lui donner de la joie, de l'aider dans son labeur de tous les jours, de faire luire à ses yeux sans qu'elle s'éteigne, la flamme généreuse de l'espérance, du courage, de l'optimisme. C'est cela que j'ai voulu. J'y ai mis tous mes efforts et toute ma foi. J'y ai mis une sincérité rigoureuse. Ai-je réussi ma tâche ? Il est encore trop tôt pour le dire. En tout cas, mes chansons, je ne les ai pas écrites comme un simple compositeur, mais comme un prêtre aussi, et ce fut là mon ministère et mon apostolat. »

Le compositeur des alpages ne devrait pas éclipser le compositeur de Musique Sacrée, mais son succès en a décidé autrement. On se fera une opinion avec « Nouthra Dona di Maortse » (Notre-Dame des Marches, lieu de pélerinage suisse), pièce toute empreinte de piété populaire, mais ô combien priante. L'Abbé Bovet y révèle un phrasé à la fois coulant, dynamique, et plein de dévotion [La Procure peut vous fournir une version bilingue de cette pièce].

Nouthra Dona di Maortse
vivement recommandé de l'écouter...


http://www.chant-liturgique-paroisse.fr/comp.bovet/comp.bovet.html



NOUTHRA DONA DI MAORTSE – Joseph Bovet (1879 - 1951)



Nouthra Dona di Maortse! Nouthra Dona di Maortse!

Nous avons raison de compter sur vous,
pour nous appuyer dans les mauvais moments.
Près de votre fils vous faut prier pour nous,
puis nous tous garder dans le bon chemin.


Nouthra Dona di Maortse! Nouthra Dona di Maortse!

Il a beaucoup passé dans votre petite chapelle,
des gens qui y ont prié, de ceux qui y ont pleuré.
Sur votre belle hauteur, ils ne vous laissent pas seule,
ceux qui ont des soucis ils viennent vous appeler.


Nouthra Dona di Maortse! Nouthra Dona di Maortse!

Venez nous aider nous avons très besoin,
pour faire toujours bien comme il faut ce qu'il faut.
Il nous semble quelquefois que le ciel est tellement haut,
que nous pourrons jamais grimper jusque làhaut.

Nouthra Dona di Maortse! Nouthra Dona di Maortse!

Quand il faudra mourir c'est vous qui faut nous prendre,
nous vous avons tant dit qu'il faut pas nous oublier.
D'ici pas trop longtemps laissez nous attendre,
devant le paradis sans y nous faire entrer.


Nouthra Dona di Maortse! Nouthra Dona di Maortse!

Nous avons raison de compter sur vous,
pour nous appuyer dans les mauvais moments.
Près de votre fils vous faut prier pour nous,
puis nous tous garder dans le bon chemin.

Nouthra Dona di Maortse! Nouthra Dona di Maortse!


http://www.chant-liturgique-paroisse.fr/comp.bovet/comp.bovet.html

La grande prière des confédérés suisses

 

Par Cercles civiques européens CH-Lausanne, Suisse

 

 

Histoire d' Esther ou de Pourim

 

La troisième année de son règne, Assuérus (Xerxès Ier, fils de Darius) a répudié sa femme Vachti sur les conseils d'Aman. Il cherche une nouvelle femme et fait réunir plusieurs belles jeunes filles. Parmi celles-ci, Esther, la seule à ne faire aucun effort pour plaire au roi, attire les sympathies de tous et est choisie. C'est une orpheline juive, élevée par son oncle Mardochée. Elle devient reine et, suivant le conseil de Mardochée, ne fait pas connaître son origine.

 

Mardochée découvre un complot contre le roi et l'en prévient par le truchement d'Esther. Or Assuérus a élevé Aman au plus haut rang de la hiérarchie, et tout le monde doit se prosterner devant lui. Mardochée refuse. Courroucé contre Mardochée, Aman veut exterminer tous les Juifs. Il procède à un tirage au sort qui désigne le 13 Adar comme date propice au massacre. Il les dénigre auprès du roi, le persuade de donner son accord, et, le manipulant, obtient de lui les pleins pouvoirs et un décret royal d'extermination de tous les Juifs. Ce décret est publié dans la totalité de l'empire et annonce que toute la population doit se tenir prête à la date susdite (il y eut en fait 2 décrets : un à destination des notables, qui demandait de préparer minutieusement l'extermination totale des Juifs, et l'autre adressé à toute la population, lui enjoignant de se tenir prête à la date fixée, sans autre précision).

 

Mardochée fait dire à Esther d'intercéder auprès du roi pour sauver son peuple. Après quelques hésitations, elle accepte mais lui demande de faire décréter d'abord un jeûne de trois jours dans la communauté juive de Suse. Le troisième jour, Esther, au péril de sa vie (ne peut se présenter devant le roi que celui qui y est appelé), invite le roi et Aman à une fête intime. Au cours du banquet, Assuérus lui demande ce qu'elle désire et Esther ne répond pas. Elle lui dit qu'elle lui fera connaître sa requête le lendemain, lors d'un autre banquet où elle invitera également Aman.

 

Aman sort du banquet royal gonflé d'orgueil et de joie. Croisant Mardochée qui ne s'incline pas devant lui, il est pris d'une fureur irrésistible. La nuit même, il érige une potence et attend le lever du jour pour recevoir du roi l'autorisation d'y pendre Mardochée. La même nuit, Assuérus, ne comprenant rien à la signification du dîner offert par Esther, est inquiet et ne parvient pas à s'endormir. Il ordonne à ses serviteurs de lui lire les Annales. Comme par hasard, le livre est ouvert à la page où est consigné le bienfait de Mardochée, c'est-à-dire la découverte d'un complot contre le roi.

 

Le roi veut le récompenser au plus tôt. A l'aube, Aman se présente devant le souverain qui, ne lui laissant pas le temps de formuler sa requête, veut connaître quelle rétribution il proposerait pour un homme de mérite. Aman, croyant qu'il s'agit de lui-même, propose qu'on le fasse chevaucher en tenue royale dans la capitale pendant qu'un dignitaire proclamerait à ses côtés : « Voilà ce qui se fait pour l'homme que le roi veut honorer ! » Assuérus dit à Aman que les honneurs sont destinés à Mardochée et que le dignitaire sera Aman en personne. L'ordre est exécuté.

 

Sans avoir eu le temps de se remettre de sa honte, Aman doit se rendre au deuxième banquet d'Esther. Au cours de celui-ci, Esther révèle au roi qu'elle est juive et accuse Aman de tramer un complot contre la reine et son peuple. Assuérus, sous l'effet de la surprise, est pris d'une rage folle (il avait déjà donné son accord à Aman). Dans son désarroi, il quitte la salle. Aman, saisi de panique implore la pitié d'Esther et trébuche sur le divan. Le roi revient et, croyant qu'Aman faisait la cour à la reine, se fâche de plus belle. Un serviteur révèle qu'Aman avait préparé une potence pour Mardochée (qui avait sauvé la vie du roi) et, immédiatement, Aman y est pendu. Assuérus, apprenant que Mardochée est l'oncle de la reine, le nomme premier vizir à la place d'Aman.

 

Sous l'influence d'Esther et de Mardochée, le roi établit de nouveaux décrets proclamant le 13 Adar comme journée d'autodéfense pour les Juifs. Le 14 Adar, lendemain de la victoire, devient, à la place d'un jour de deuil, un jour de fête. Tous ces faits sont consignés par Mardochée et Esther dans un mémoire s'intitulant la Meguila (le rouleau) d'Esther.

Source :


 http://paris1.mfa.gov.il/mfm/web/main/document.asp?DocumentID=110077&MissionID=31

 

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