How to implement it ? Comment la rendre active ?

lundi 4 octobre 2010

MONDIALISME: RUINE ET IDÉOLOGIE.


ONU : RUINE ET IDÉOLOGIE

 

Un fait nouveau vient d'intervenir. Le président de la république vient lors d'un discours à l'ONU d'annoncer qu'il fallait terrasser la pauvreté. A cette fin, il milite pour un impôt mondial sur les transactions financières. L'argent récolté ne parviendra jamais aux pauvres et se perdra dans la vase sans fond des bureaucraties intermédiaires.

Ayant la mémoire longue, nous rappellerons qu'en 2000, déjà, une parlotte internationale avait eut lieu toujours à l'ONU avec 160 chefs d'État. L'un des objectifs affichés était justement de résoudre le problème de la pauvreté dans le monde. Dans un New-York bouché du soir au matin par leurs somptueux cortèges, c'était précisément le bal des responsables de la pauvreté. Plusieurs des grands bourreaux de la planète étaient là et personne n'était gêné de leur serrer la main, au cours des innombrables fêtes où le champagne coulait largement à la santé des pauvres pour orner la parlotte. L'objectif annoncé était de diminuer en 2015 de moitié le milliard d'hommes vivant avec moins d'un dollar par jour.

Ce que personne n'avait dit à l'époque et ne dit à présent, le voici : c'est l'ONU et ses innombrables satellites qui sont largement à l'origine de la pauvreté dans le monde, alors qu'en même temps elle en profite pour répandre son idéologie mondialiste.

MONDIALISME ET MONDIALISATION

Il faut distinguer avec soin les deux notions qui sont contradictoires. La mondialisation est la généralisation dans le monde entier de la libre circulation des biens. C'est la liberté du commerce, droit fondamental auquel les États ne doivent mettre aucun obstacle, que ce soit sous forme de droits de douane ou de réglementations. Est-ce une nouveauté ? Nullement : la route de la soie, le commerce des épices représentaient la mondialisation à la mesure des techniques de l'époque. Actuellement, les gens ont l'impression que la mondialisation se développe trop  vite, ce qui est un simple effet d'optique : en 1913, la part du commerce international était de 9% dans l'économie générale et elle est de 15 % environ aujourd'hui, ce qui n'est pas une augmentation considérable. La mondialisation est vraiment un bienfait, en particulier pour les pauvres, et l'effet d'enrichissement venant de ce commerce étendu à toute la planète est considérable.

Venons-en au mondialisme qui est tout le contraire. C'est l'asservissement d'un grand nombre de pays et même, in fine, de la planète entière à un ensemble de forces qui gouvernent d'une façon quasi totalitaire à leur profit et pour leur bon plaisir. Le mondialisme a de multiples relais. L'Europe qui se met en place contre la volonté affichée de beaucoup de peuples est un échelon avancé de ce mondialisme avec ses multiples structures. L'objectif clairement proclamé des Eurocrates est bien la disparition des nations.

L'ONU est la clef de voûte de l'ensemble mondialiste et se décline dans une foule de bureaucraties gigantesques qui travaillent pour leur compte propre en quasi indépendance : FAO, UNESCO, OMC, CITES, OMS. Mais a côté de ces vraies « Seigneuries », il est une quantité d'autre « bourreaucraties ». Un coup d'œil sur Google révèle leur liste épouvantable et l'impossibilité de les dénombrer ; elles répondent à des étiquettes diverses : agences, instituts, programmes, hauts commissariats, fonds de ceci ou de cela. La prolifération des structures bouillonne de haut en bas et aussi latéralement ; chaque « bourreaucratie » a ses propres dépendances.

LA PAUPÉRISATION

Comment ce bouillonnement propage-t-il la pauvreté dans le monde d'une façon tellement visible que les responsables eux-mêmes s'en aperçoivent, y trouvant le rêve de s'enrichir davantage par de nouvelles structures tout en prétendant la conjurer ?

Il faut citer d'abord les coût faramineux générés par ce cirque mondial. Il est évidemment impossible de connaître le total des budgets et personne n'a intérêt à le chiffrer. Aux coûts propres de chaque organisme il faudrait ajouter les coûts à l'intérieur des pays adhérents de l'ONU. Qui pourrait dire les frais des élus et fonctionnaires français tout affairés à entretenir les contacts avec la merveilleuse et scintillante toile d'araignée ? Les coûts extravagants génèrent la pauvreté dans le monde entier par leur existence même.

Les coûts s'envolent d'autant plus que des postes artificiels sont créés uniquement pour fait plaisir à tel ou tel. La France en 2008 a fait nommer Douste-Blazy au poste nouveau de secrétaire général adjoint pour les financements innovants et il est à l'origine du projet farfelu de taxe sur les transactions financières. L'exemple est significatif ; le droit acquis des politiques à un reclassement fabuleux a conduit à la dépense représentée pas ses propres émoluments, mais aussi aux fastes des collaborateurs et aux dépenses de la bureaucratie créée à cet effet. En plus, s'ajoutent les dégâts suscités par l'activité déployée, à savoir dans le cas particulier la future taxe sur les transactions financières. Il aurait mieux valu le payer pour ne rien faire que de le financer pour s'activer !

Ensuite les réglementations multiples contribuent aussi à la pauvreté. Nos lecteurs sont familiers de l'effet destructeur de la multiplication des lois, de leur enchevêtrement et de leurs contradictions.

La corruption qui règne à l'ONU est connue. La secrétaire générale adjointe chargée du contrôle a indiqué aux medias : « nous ne nous attendions pas à découvrir un tel niveau de corruption ». Les enquêteurs ont mis récemment au jour 190 dossiers attestant une corruption largement répandue et intrinsèque au sein des missions de paix au Congo et en Haïti.

L 'IDEOLOGIE

En évoquant le pouvoir totalitaire mondial, il est inévitable d'arriver à l'idéologie et d'observer au sein de l'ONU les pires orientations de notre époque qui sont confirmées et financièrement soutenues pas le déversement des fonds publics ainsi que par le pouvoir totalitaire ambiant.

Le prétendu réchauffement climatique avec ses supposées origines humaines fait partie du credo onusien. Il en découle l'idée folle que les homme seraient de trop. Les attaques contre la famille suivent normalement avec la culture de mort. La sacro-sainte évolution est aussi là avec pour objectif de nier la création du monde par Dieu. La parité hommes-femmes complète le tableau avec, dernière nouveauté, l'idéologie du « genre ». Pour promouvoir cette parité une « super » agence vient d'être créée ; l'heureuse et richissime future patronne a dit qu'il faudrait faire un vrai travail de police. Bigre !

CONCLUSION
Que pourrait faire un pouvoir « Libérateur » s'il parvient en France ou ailleurs ? D'abord, évidemment, comprendre et informer. Ensuite dénoncer une grande quantité de traités qui asservissent le pays. Malgré les hurlements à prévoir ce sera le signe d'un marche vers l'indépendance. De toutes façons il faudra se souvenir que les empires quels que soient leur nature se sont toujours écroulés.

Michel de Poncins

micheldeponcins@orange.fr


                                      CATHOLIQUES POUR LES LIBERTÉS ÉCONOMIQUES ( CLÉ )

                                       (Association de la loi de 1901)

                                       5, rue Dufrenoy 75116 PARIS

                                       C  O  M  M  U  N  I  Q  U É

NOUS AVONS L'HONNEUR DE VOUS INVITER À LA CONFÉRENCE-DÉBAT QUI AURA LIEU

LE JEUDI 14 OCTOBRE 2010 à 18 h 30

DANS LA SALLE DE l'ASIEM 6 RUE ALBERT DE LAPPARENT

75007 PARIS (métro : Sèvres-Lecourbe)

ET AURA POUR SUJET

«L'ÉCONOMIE DE L'IMMIGRATION»

Le sujet sera traité par

Monsieur JEAN-YVES LE GALLOU

Président de Polemia.

SOLUTIONS:  www.pavie.ch

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